Ukraine. "Frappes nucléaires russes": le ministre ukrainien de la Défense disjoncte (député)

Ria Novosti Lundi le 22 Septembre 2014 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Les affirmations du ministre ukrainien de la Défense Valeri Gueleteï selon lesquelles les troupes russes auraient mené des "frappes nucléaires" contre l'aéroport de Lougansk montrent que ce dernier "perd la tête", estime le président de la commission des affaires internationales de la Douma, Alexeï Pouchkov.

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"Visiblement, le ministre de la Défense de l'Ukraine perd la tête. D'où ses affirmations délirantes concernant les soi-disant "frappes nucléaires des troupes russes" contre l'aéroport de Lougansk. Imaginez si un tel personnage disposait de l'arme nucléaire", a écrit le député russe sur son compte Twitter.

Samedi, les médias ukrainiens ont révélé qu'au cours de son voyage de retour de Pologne, M. Gueleteï a affirmé à un des journalistes l'accompagnant que les forces armées russes auraient mené deux frappes au moyen de "munitions nucléaires tactiques" tirées par un système 2S4 Tioulpan contre l'aéroport de Lougansk.

Le ministère russe de la Défense a déclaré que les déclarations de M. Gueleteï relevaient de la "paranoïa", soulignant que de telles affirmations étaient une tentative de justifier l'échec de l'opération punitive menée par Kiev dans le sud-est du pays.

Kiev a lancé le 15 avril une opération "antiterroriste" d'envergure en vue de réprimer la révolte qui a éclaté dans le Donbass suite au renversement du régime du président Viktor Ianoukovitch. Les hostilités ont déjà fait plus de 2.600 morts et 6.000 blessés parmi les civils. Les autorités de Kiev ont signé le 5 septembre à Minsk un accord de cessez-le-feu avec les républiques populaires autoproclamées de Donetsk et de Lougansk.

 



Ukraine: un mort et sept blessés dans des tirs de l'armée (insurgés)


Un insurgé a été tué et sept ont été blessés samedi dans la région de Donetsk (est de l'Ukraine) dans un pilonnage mené par l'armée ukrainienne en violation du cessez-le-feu, a annoncé dimanche l'état-major de la république populaire de Donetsk (DNR).

"A 18h30 heure locale, des tirs ont été menés au moyen de systèmes Grad depuis le village de Pervomaïsk contre les positions de l'armée de DNR. Les pertes du côté des insurgés s'élèvent à un mort et sept blessés", lit-on dans le communiqué.

En outre, les militaires ukrainiens ont fait sauter un pont en quittant le village de Nijniaïa Krynka (région de Donestk), a indiqué la même source.

Au total, l'état-major a recensé six cas de violation du cessez-le-feu par les militaires ukrainiens.

Le 5 septembre à Minsk, les autorités de Kiev et les républiques populaires autoproclamées de Donetsk et de Lougansk ont signé un accord de cessez-le-feu après plusieurs mois d'affrontements meurtriers et particulièrement destructeurs dans la région. Les deux parties s'accusent mutuellement de violer le cessez-le-feu.
 


Ukraine: l'OSCE supervisera la réalisation du mémorandum de Minsk

L'OSCE salue la signature du mémorandum de Minsk et déclare que la mission spéciale de l'organisation en Ukraine soutiendra "immédiatement et activement" la réalisation de cet accord, lit-on dans une déclaration publiée dimanche.

"Nous saluons le mémorandum du 19 septembre concernant les mesures concrètes à réaliser concernant la désescalade de la situation dans l'est de l’Ukraine (…). La mission soutiendra immédiatement et activement la réalisation et le suivi de cet accord'', indique le communiqué.

Kiev a lancé le 15 avril une opération "antiterroriste" d'envergure en vue de réprimer la révolte qui a éclaté dans le Donbass suite au renversement du régime du président Viktor Ianoukovitch. Les hostilités ont déjà fait plus de 2.600 morts et 6.000 blessés parmi les civils.

Dans la nuit du 19 au 20 septembre, Kiev et les insurgés de l'est de l'Ukraine ont en outre signé un mémorandum de paix qui prévoit l'arrêt de l'usage des armes, le retrait de 15 km des pièces d'artillerie lourdes depuis leur "ligne de contact", la création d'une zone de sécurité de 30 km dans l'est de l'Ukraine, l'interdiction de survol de la zone de sécurité aux avions de combat et drones et le départ des mercenaires étrangers des deux camps.
 


Ukraine: deux soldats tués en 24 heures (Kiev)

Deux soldats ukrainiens ont été tués et huit autres blessés ces dernières 24 heures dans le sud-est du pays, a annoncé dimanche lors d'un point de presse le porte-parole du Conseil de sécurité nationale et de défense de l'Ukraine (SNBO) Andreï Lyssenko.

"Ces dernières 24 heures, nous avons perdu deux militaires ukrainiens, huit autres ont reçu des blessures", a déclaré M. Lyssenko.

Selon lui, l'armée ukrainienne continue à respecter les ententes sur le cessez-le-feu, et ne réalise que des tirs de riposte. M. Lyssenko a en outre accusé les insurgés de pilonner les positions des forces pro-Kiev.

Kiev a lancé le 15 avril une opération "antiterroriste" d'envergure en vue de réprimer la révolte qui a éclaté dans le Donbass suite au renversement du régime du président Viktor Ianoukovitch. Les hostilités ont déjà fait plus de 2.600 morts et 6.000 blessés parmi les civils.

Dans la nuit du 19 au 20 septembre, Kiev et les insurgés de l'est de l'Ukraine ont en outre signé un mémorandum de paix qui prévoit l'arrêt de l'usage des armes, le retrait de 15 km des pièces d'artillerie lourdes depuis leur "ligne de contact", la création d'une zone de sécurité de 30 km dans l'est de l'Ukraine, l'interdiction de survol de la zone de sécurité aux avions de combat et drones et le départ des mercenaires étrangers des deux camps.

 


La Slovaquie constate une baisse des livraisons de gaz russe

Les livraisons de gaz russe via le territoire ukrainien ont reculé de 10%, a déclaré dimanche un représentant de la compagnie d'électricité et de gaz slovaque SPP.

"La compagnie SPP a fixé dimanche 21 septembre une baisse de 10% des livraisons de gaz russe", a indiqué le porte-parole officiel de la société Peter Bednar, ajoutant que le recul des fournitures atteignait 20-25% sur une semaine.

Mercredi, le ministre slovaque de l'Economie Pavol Pavlis a déclaré que le groupe russe Gazprom avait expliqué ces livraisons incomplètes par des problèmes techniques.

Le PDG de Gazprom, Alexeï Miller, a de son côté indiqué auparavant que les baisses dans les approvisionnements de certains pays européens concernaient des volumes de livraison supplémentaires, le groupe russe réalisant à la lettre les obligations prévues par les contrats.

Le 16 juin dernier, à l'issue de longues négociations infructueuses, le groupe public russe Gazprom a introduit un système de prépaiement des livraisons de gaz pour l'Ukraine. La société russe affirme que cette décision sera sans incidence sur les exportations de gaz russe vers l'Europe. La dette accumulée par l'Ukraine pour les importations de gaz naturel russe dépassait à cette date 5 milliards de dollars.

Une nouvelle rencontre tripartite Russie-Ukraine-UE sur le gaz se tiendra le 26 septembre à Berlin.
 


Ukraine: les exercices de l'Otan aggravent la situation (OTSC)

L'organisation d'exercices militaires sur le territoire ukrainien par l'Otan ne fait qu'aggraver la situation, a indiqué lundi Nikolaï Bordiouja, secrétaire général de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), lors d'une conférence de presse à l'agence Rossiya Segodnya.

"J'estime que les exercices menés sur le territoire de l'Ukraine ne font qu'aggraver la situation. Je pense qu'organiser des exercices militaires sur le territoire d'un pays qui se trouve pratiquement en état de guerre et où le cessez-le-feu n'est même pas pleinement appliqué, revient à pousser ce pays ou l'une des parties au conflit à des démarches plus actives", a déclaré M.Bordiouja.

Les exercices militaires internationaux Rapid Trident-2014, impliquant des militaires venus de 15 pays, ont débuté il y a une semaine dans la région de Lvov (Ouest de l'Ukraine). Ils dureront jusqu'au 26 septembre.

Des exercices navals conjoints de trois jours de l'Ukraine et de l'Otan se sont déroulés auparavant en mer Noire sous le nom de Sea Breeze 2014, associant près de 2.000 militaires de différents pays, notamment du Canada, de France, d'Espagne, de Norvège, de Suède, de Turquie et de Roumanie.

Créée en 2002, l'Organisation du traité de sécurité collective, parfois qualifiée d'"Otan russe", est une organisation politico-militaire qui regroupe l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan.
 


Les Mistrals ne conviennent pas à la Russie pour plusieurs raisons

Le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine a déclaré sur la chaîne Rossia 1 que la Russie pourrait se passer du porte-hélicoptères français Mistral, écrit lundi le quotidien Kommersant.

"Le Mistral est un grand bâtiment de projection et de commandement. A mon avis, nous pourrions nous passer de ce contrat parce que nous aujourd'hui la capacité de construire en grands blocs ce type de navires", a déclaré Dmitri Rogozine.

D'après lui, la Russie ne disposait pas de cette compétence jusque-là parce que les grands navires de ce genre étaient construits sur les chantiers de Nikolaev, en Ukraine. "L'an dernier, le 16 novembre, nous avons livré à nos collègues indiens le porte-avions Vikramaditya – l'ancien croiseur lance-missiles Amiral Gorchkov. Ainsi, en remplissant notre contrat et en remportant beaucoup d'argent, nous avons prouvé que la Russie pouvait désormais construire de tels bâtiments", a précisé le vice-premier ministre.

Selon ce dernier, un croiseur ultramoderne – un porte-avions – est le summum de la construction navale. "Alors qu'un bâtiment de débarquement est une construction bien plus simple. Bien sûr, nous pouvons le faire", a déclaré Dmitri Rogozine.

Il a également précisé que le Mistral était prévu pour le climat méditerranéen. "Ces navires ne nous conviennent pas vraiment pour des raisons climatiques, du moins ils ne pourront certainement pas naviguer dans les eaux russes du nord", a expliqué le vice-premier ministre.

Plus tôt, le président français François Hollande avait déclaré que les conditions actuelles n'étaient pas réunies pour la livraison du Mistral à la Russie, mais que la situation pourrait changer.
 


Sommet du G20: les pays divisés sur la participation de Poutine (Canberra)

Les pays du G20 sont divisés concernant la participation du président russe Vladimir Poutine au sommet qui aura lieu en novembre à Brisbane, mais il n'y a pas de consensus sur l'annulation de son invitation, a déclaré la ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop à la radio locale.

La ministre a annoncé avoir "tâté le terrain" parmi les pays du G20, et constaté que parmi eux, certains soutiennent la participation du président russe au sommet du G20, même si tous les Etats participants ne partagent pas cet avis.

"Dans le cas du G20, l'Australie est le pays hôte, mais nous n'avons pas le droit d'annuler les invitations envoyées. Pour cela, il doit y avoir un consensus, et actuellement un tel consensus n'existe pas", a-t-elle déclaré.

Le Trésorier australien Joe Hockey a auparavant confirmé la participation de la délégation russe à la rencontre des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales des pays du G20 prévue ce week-end à Cairns, en Australie.

Le premier ministre australien Tony Abbott avait déclaré en juillet que les résultats de l'enquête sur le crash du Boeing malaisien abattu dans l'est de l'Ukraine pourraient influer sur la participation du président russe Vladimir Poutine au sommet du G20 fixé pour novembre prochain.

Le premier vice-premier ministre russe Igor Chouvalov a fait remarquer à cette occasion que le format du G20 était inconcevable sans la Russie et qu'il n'existait pas de mécanismes permettant d'exclure ce pays de ce groupe.
 


Russie: Khodorkovski n'exclut pas de devenir président (médias)

L'ancien PDG du groupe pétrolier Ioukos Mikhaïl Khodorkovski envisage la possibilité de devenir président de Russie "pour surmonter la situation de crise", rapporte le journal français Le Monde.

"Je n'ai pas une telle mission devant moi. Je ne serais pas intéressé par l'idée de devenir président de la Fédération de Russie, à un moment où le pays se développerait normalement", a-t-il indiqué.

"Mais s'il apparaissait nécessaire de surmonter la crise et de conduire une réforme constitutionnelle, dont l'essentiel consiste à redistribuer le pouvoir résidentiel en faveur du système judiciaire, du parlement et de la société civile, alors je serais prêt à assumer cette partie du travail", a-t-il poursuivi.

Mikhaïl Khodorkovski a lancé samedi un nouveau mouvement, Russie Ouverte, destiné à regroupe dans toute la Russie les partisans d'une "voie de développement européenne".

Condamné pour escroquerie et fraude fiscale, l'ex-oligarque Mikhaïl Khodorkovski a passé plus de dix ans en prison avant d'être gracié en décembre 2013 par le président Vladimir Poutine. Dès sa libération, M.Khodorkovski a quitté la Russie.
 


Ukraine: dix camions d'aide humanitaire de Kiev arrivent à Lougansk

Les dix premiers camions d'aide humanitaire envoyée par les autorités ukrainiennes en août dernier sont arrivés à Lougansk, dans l'est de l'Ukraine, a annoncé samedi Irina Guérachtchenko, représentante du président pour le règlement de la situation dans l'est du pays.

"L'aide humanitaire se trouve déjà à Lougansk, dans les dépôts du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et sera distribuée parmi ceux qui en ont besoin. Nous sommes contents que le CICR ait enfin réussi de faire parvenir l'aide humanitaire" à destination, a indiqué Mme Guérachtchenko sur Facebook.

Les représentants du CICR se sont chargés d'acheminer un lot d'aide humanitaire dans l'est de l'Ukraine à la mi-août.

Selon l'administration présidentielle ukrainienne, Kiev a envoyé au total 75 camions transportant 800 tonnes d'aide. D'après Mme Guérachtchenko, d'autres camions quitteront prochainement les villes de Starobelsk et de Severodonetsk où sont stockés près de 600 tonnes d'aide humanitaire ukrainienne.

La Russie envoie aussi une aide humanitaire aux habitants du sud-est de l'Ukraine où Kiev mène une opération militaire dite "antiterroriste" depuis avril dernier. Le troisième convoi humanitaire russe de 200 camions est arrivé samedi à Donetsk. Les deux premiers convois d'aide humanitaire russe sont arrivés dans le sud-est de l'Ukraine le 13 septembre et le 22 août derniers.
 


L'OTSC régira aux démarches de l'Otan pour assurer sa sécurité

L'Organisation du traité de sécurité collective réagira de façon adéquate aux actions de l'Otan en vue d'assurer sa sécurité, a indiqué lundi Nikolaï Bordiouja, secrétaire général de l'OTSC, lors d'une conférence de presse à l'agence Rossiya Segodnya.

"Concernant les démarches pratiques, en fonction des actions qui seront adoptées par les pays de l'Otan, nous réagirons de façon adéquate. Bien sûr, il y aura des démarches de riposte, on prendra les mesures nécessaires afin d'assurer la stabilité et la sécurité dont nous avons besoin", a-t-il indiqué.

Selon lui, la base aérienne russe sur le territoire biélorusse "est créée en réponse aux actions entreprises par les Etats-Unis visant à déployer des avions dans les pays baltes".

Réunis début septembre au pays de Galles, les pays de l'Otan se sont entendus pour élargir les mesures de défense collective, voyant une menace dans la Russie. Les pays membres ont toutefois déclaré qu'ils ne comptaient pas diriger leur système de défense antimissile contre la Russie et souhaitaient conserver un dialogue politique avec Moscou.

Créée en 2002, l'Organisation du traité de sécurité collective, parfois qualifiée d'"Otan russe", est une organisation politico-militaire qui regroupe l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan.
 


Sommet du G20 à Brisbane: la Russie participera à toutes les discussions

La Russie participera à toutes les discussions du sommet de G20 à Brisbane, en Australie, et n'entend pas apporter d'amendements à l'agenda du forum, a indiqué lundi Dmitri Peskov, porte-parole du président russe.

"L'ordre du jour du G20 est toujours très vaste et riche en contenu. Tout au long de l'année, un travail de préparation est mené au niveau des experts sur les questions figurant au programme du sommet", a déclaré le représentant du Kremlin à la radio russe RSN.

La ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop a déclaré auparavant que les pays du G20 étaient divisés concernant la participation du président russe Vladimir Poutine au sommet de novembre à Brisbane, mais qu'il n'y avait pas de consensus sur l'annulation de son invitation.

De son côté, le Trésorier australien Joe Hockey a auparavant confirmé la participation de la délégation russe à la rencontre des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales des pays du G20 prévue ce week-end à Cairns, en Australie.

Le premier ministre australien Tony Abbott avait déclaré en juillet dernier que les résultats de l'enquête sur le crash du Boeing malaisien abattu dans l'est de l'Ukraine pourraient influer sur la participation du président russe Vladimir Poutine au sommet du G20 fixé pour novembre prochain.

Le premier vice-premier ministre russe Igor Chouvalov a fait remarquer à cette occasion que le format du G20 était inconcevable sans la Russie et qu'il n'existait pas de mécanismes permettant d'exclure ce pays de ce groupe.
 


Les banques russes doivent continuer à travailler en Ukraine (Poutine)

Les banques russes doivent continuer à travailler en Ukraine malgré les difficultés, car leur départ est susceptible de porter un coup sérieux à l'économie ukrainienne, a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors d'une rencontre avec le PDG de la banque russe VTB Andreï Kostine.

"Le travail doit bien entendu se poursuivre. Avant tout parce que les banques russes occupent dans le secteur bancaire ukrainien une part de plus de 30%, et si nous cessons notre travail, ce sera un coup supplémentaire, très sérieux, contre l'économie ukrainienne. Nous n'y avons pas intérêt", a déclaré le chef de l'Etat russe.

"Malgré toute les difficultés, il faut continuer le travail. D'autant plus qu'à ce que je sache, nos relations avec la Banque centrale d'Ukraine sont tout à fait correctes", a-t-il ajouté.

M. Kostine avait auparavant fait savoir que la banque VTB subissait des pertes en Ukraine, que des actes de vandalisme étaient perpétrés contre les bureaux de la compagnie et que les employés subissaient des menaces.
 

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