Syrie. Lutte antiterroriste: Poutine continuera de coopérer avec Assad (Damas)

Ria Novosti Jeudi le 27 Novembre 2014 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Le président russe Vladimir Poutine a confirmé son intention de poursuivre la coopération avec son homologue syrien Bachar el-Assad dans la lutte contre le terrorisme, a annoncé mercredi le chef de la diplomatie syrienne Walid Mouallem à l'issue de sa rencontre à Sotchi avec M.Poutine.

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"Rencontrer Vladimir Poutine a été un grand honneur pour moi et cette rencontre a été très productive. M.Poutine a réaffirmé son intention de promouvoir les relations avec M.Assad dans le but d'éradiquer le terrorisme", a déclaré devant les journalistes le ministre syrien en visite en Russie.

Le conflit armé qui fait rage en Syrie depuis mars 2011 a déjà emporté, selon les Nations unies, plus de 200.000 vies. Selon Damas, les troupes gouvernementales sont confrontées à différents groupes extrémistes qui comptent des mercenaires étrangers dans leurs rangs.

Depuis la proclamation par le groupe djihadiste Etat islamique d'un "califat" dans les zones qu'il contrôle en Syrie et en Irak, des affrontements opposent ce groupe extrémiste aux troupes du régime de Damas, notamment dans le nord du pays.
 


Lutte antiterroriste: Moscou aidera la Syrie à renforcer sa combativité

Moscou continuera d'aider la Syrie à renforcer sa combativité face au terrorisme, a déclaré mercredi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.

"La Russie poursuivra son concours à la Syrie afin de renforcer sa combativité dans la lutte  contre le terrorisme", a réaffirmé le ministre lors d'une conférence de presse à Sotchi.

Et d'ajouter que la lutte contre le terrorisme devait reposer sur le droit international.

Sergueï Lavrov a fait remarquer que la campagne menée par la coalition conduite par les Etats-Unis contre les djihadistes de l'Etat islamique (EI) et ses frappes sur le territoire syrien (sans l'aval des autorités du pays, ndlr) étaient contraires aux normes fondamentales du droit international.

Il a aussi indiqué que, parallèlement à la lutte antiterroriste, il fallait réunir des conditions indispensables à la reprise du processus de règlement politique en Syrie.

Le conflit armé qui fait rage en Syrie depuis mars 2011 a déjà emporté, selon les Nations unies, plus de 200.000 vies. Selon Damas, les troupes gouvernementales sont confrontées à différents groupes extrémistes qui comptent des mercenaires étrangers dans leurs rangs.

Depuis la proclamation par le groupe djihadiste Etat islamique d'un "califat" dans les zones qu'il contrôle en Syrie et en Irak, des affrontements opposent ce groupe extrémiste aux troupes du régime de Damas, notamment dans le nord du pays.
 


Syrie: une nouvelle conférence internationale aujourd'hui impossible (Moscou)

Il est impossible de réunir prochainement une nouvelle conférence internationale de médiateurs sur la Syrie (Genève-3), estime le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

"Si vous espérez qu'on annoncera une conférence comme celle qui a réuni en janvier dernier une cinquantaine d'Etats et des milliers de journalistes, vous vous trompez. Une telle conférence n'aura pas lieu", a déclaré M. Lavrov à la presse à l'issue de négociations avec son homologue syrien Walid Mouallem.

La conférence de paix Genève-2, organisée sur l'initiative de la Russie et des Etats-Unis, a eu lieu au début de 2014 (le premier round s'est déroulé les 24-31 janvier et le second, les 10-15 février). Cette conférence, qui a rassemblé les ministres des Affaires étrangères de plus de 40 Etats, a également permis de réunir autour d'une même table des négociations le gouvernement syrien et l'opposition. Cependant, aucun progrès n'a été enregistré au terme de cette rencontre.
 


Syrie: un sommet Russie-USA, seul moyen de régler la crise (ministre émirati)

Les Emirats arabes unis ne voient pas d'autre possibilité de régler le problème syrien que d'organiser un sommet russo-américain, a estimé mercredi le secrétaire d'Etat émirati aux Affaires étrangères Anwar Gargash.

"Je ne vois pas dans l'immédiat de perspectives de règlement de la crise en Syrie. La seule issue (à la crise, ndlr) pourrait passer par des négociations russo-américaines au sommet", a déclaré M.Gargash lors d'une rencontre à Abou Dhabi avec les journalistes à l'occasion de la Journée nationale des Emirats arabes unis, célébrée le 2 décembre.

Le conflit armé qui fait rage en Syrie depuis mars 2011 a déjà emporté, selon les Nations unies, plus de 200.000 vies. Selon Damas, les troupes gouvernementales sont confrontées à différents groupes extrémistes qui comptent des mercenaires étrangers dans leurs rangs.

Depuis la proclamation par le groupe djihadiste Etat islamique d'un "califat" dans les zones qu'il contrôle en Syrie et en Irak, des affrontements opposent ce groupe extrémiste aux troupes du régime de Damas, notamment dans le nord du pays.

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