Cameroun - Politique. Résistance Acte 9 : Le Commandant Mboua Massok annonce d'autres manifestations pour le 28 mai 2011

C.P: Cbt MbouaMassok Mercredi le 18 Mai 2011 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Résistance Acte 9 : Le Commandant Mboua Massok annonce d'autres manifestations pour le 28 mai 2011

ADS

       Action pour l’Alternance et l’Alternative Assurées en 2011

4A-2011

Résistance Jusqu’au But (RJB)

Conduite Acte 7 et 8

Sous forme d’une orientation révolutionnaire de changement de vision, de méthodes d’action et de personnel politique chez nous, l’opération « Résistance Jusqu’au But » -RJB- dont le slogan est « A bek Biya, MoufDé » est en cours au Cameroun depuis le 23 février 2011. La Rébellion Morale, ce concept portée depuis septembre 1999 par Combattant MbouaMassok en est le support idéologique. A cours terme, l’objectif de RJB est la chute du 30tenaire régime corrompu et à tout prendre totalitaire de Monsieur Biya, jusqu’à date au service des intérêts de la France-des-Gouvernants néocolonialistes, ce en vue de la mise sur pieds des bases de (re)fondation d’un Cameroun où l’Etat est au service prioritaire de son Peuple. Les Samedi 7 et Mercredi 11 mai 2011 ont été comme suit, conduites les opérations tenant lieu des Actes 7 et 8 de RJB.

                      A   ACTE 7 de Résistance Jusqu’au But

                   a-   Arrestation du Combattant MbouaMassok

L’Acte 7 de RJB, à savoir une Conférence publique au lieu dit Entrée Billes situé au quartier NdogPassi à Douala devait, comme programmé, être posé le 7 mai 2011 dès 14h sous la direction du Leader Nationaliste Panafricain Agissant Combattant ‘’Général’’ MbouaMassok. A l’effet d’étouffer ce programme et ce, fidèle à son option oppressive de promotion du ‘’silence républicain’’, le pouvoir de Yaoundé décide comme de règle de prendre, aux premières heures de la matinée du 7 mai, possession du Pavillon du Devoir National qui fait corps avec la résidence privée du Leader Nationaliste. Ici, les gendarmes sous la direction du Commandant de brigade de LogBisou, arrêtent Combattant MbouaMassok en compagnie d’un de ses fils. Ceux-ci sont conduits à la brigade concernée où pendant une quarantaine de minutes, Combattant est auditionné sur procès-verbal par le chef de cette unité militaire. Après quoi arrive, à la tête d’un nombre significatif de gendarmes armes de guerre au point, un Lieutenant de Gendarmerie qui se présente comme étant le  Commandant de Compagnie de LogBaba. Combattant MbouaMassok et son fils sont manu militari embarqués dans un pickup. Escortés par d’autres véhicules et éléments affectés à cette mission d’enlèvement, le Leader Nationaliste  et son fils sont conduits à la Légion de gendarmerie du Littoral à Bonanjo, où le premier cité est gardé à l’unité Antigangs jusqu’au 8 mai 2011 aux environs de O1h. Mais au vu des événements, force est de constater que non seulement l’enlèvement du Leader Nationaliste n’a pas permis au pouvoir de Yaoundé d’atteindre le but escompté (empêcher le déroulement des activités prévues ce jour) du moment où les éléments de l’«  Armée Citoyenne de Résistance » au sein de 4A-2011 ont même opté d’intensifier lesdites activités.

b- Déroulement du meeting de NdogPassi

Il est 14h10 au moment où arrive sur le lieu du meeting à NdogPassi, en tenue d’apparat, la Cellule Agissante de l’ « l’Armée Citoyenne de Résistance ». Malgré de multiples interventions d’intimidation des Ministres et autres propagandistes acquis au statu quo dont Issa-Tciro-ma sur tous les supports des médias tant publics que autres, malgré l’impressionnant déploiement des gendarmes et policiers sur les lieux, le Peuple-des-Victimes du Biyaïsme ayant répondu à l’appel de son Leader, Combattant MbouaMassok, est estimé entre 4 à 5 milles personnes. L’attention est à son comble. Commencent les interventions. La justification de la rencontre est d’abord faite. Morceau choisi de l’orateur à charge de le faire : « Notre Leader invite le Peuple-des-Victimes du régime Biya à ne plus se fier à celui-ci sur aucun aspect de la vie du pays, les résultats de son action étant demeurés incontestablement catastrophiques. De manière toute spécifique s’évertue-t-il à souligner, voici 20 ans que ce régime s’organise, par de multiples subterfuges dont le  dernier en date se rapporte à l’organisation et au fonctionnement d’Elécam, à ne pas favoriser la tenue dans notre pays, des élections justes et équitables parce que relevant d’un consensus réel entre toutes les parties prenantes. Sur cette base soutien l’orateur, le Leader Nationaliste indique qu’aujourd’hui seule la chute, ici et maintenant, du régime encore pour le grand malheur de notre cher pays et la neutralisation du système qui en est le support peut créer les conditions idoines d’organiser chez nous, une présidentielle positivement porteuse pour le Cameroun et le Peuple Camerounais. Nous sommes ici, poursuit l’intervenant, pour partager cette orientation avec les populations de cette zone de Douala et suggérer à tous et à toute, surtout à la jeunesse et aux femmes, non seulement de se l’approprier mais, de se joindre à notre Dynamique, à savoir le Mouvement citoyen dénommé Action pour l’Alternance et l’Alternative Assurées en 2011 (4A-2011). L’orateur, pour les besoins de la cause, souligne que c’est à 4A-2011 que revient non seulement de conduire Résistance Jusqu’au But mais, la charge de promouvoir, de conditionner et d’assumer l’avènement à la tête de l’Etat du Cameroun, du Leader Nationaliste Agissant le plus proche du Peuple-Victime Camerounais à notre époque si nécessaire par une Action Populaire Globalisée au cas où devenait comme cela se présage illusoire de parvenir, dans l’environnement conservateur actuel, à l’organisation au Cameroun des élections justes et transparentes. Convaincantes démonstrations à l’appui, il ressort des propos de divers intervenants qu’en ce moment, la présence de Monsieur Biya à la tête de nos institutions constitue l’handicap majeur au développement du Cameroun sur la base d’une démocratie participative avec à son service, l’éthique et la morale alors devenues les boussoles des comportements au sein de la communauté. « Notre Leader ne cesse de le relever -soutien un orateur, que « l’aptitude d’innovation qui n’est qu’illisible chez Monsieur Biya est une des pièces maîtresses du socle d’une gouvernance porteuse de développement et de réels espoirs pour un pays et pour un peuple. Le Cameroun et le Peuple Camerounais ne devant plus continuer d’en être sevrés, il n’y a plus d’autres voies crédibles que de scander en continue et en chœur Jusqu’au But, à savoir la chute du régime mis en cause, « A bek Biya, MoufDé », rejetant ainsi jusqu’à l’idée même d’une éventuelle candidature de lui à l’élection présidentielle ». La tension est déjà nette dans les rangs des forces répressives. Celle des populations présentes, enthousiastes et totalement acquises aux idées ici développées en faveur du changement et du progrès et qui intensifient leur foi en un Cameroun nouveau sans délai électrise définitivement l’atmosphère au moment où est donnée, en ces termes, la cause de l’absence sur les lieux, du Leader Nationaliste : « Combattant MbouaMassok a été tôt ce matin enlevé de son domicile  par un groupe de gens… ». Le carrefour Entrée Billes est alors totalement sens dessus dessous. Les forces répressives débordées, le blocus est atteint et la circulation n’est plus possible, près d’une heure durant, avec ce que cela implique, à l’endroit concernée de l’axe lourd Douala-Yaoundé. En plus de A bek Biya, MoufDé, les populations scandent « Libérez MbouaMassok. .. Libérez notre Leader… Libérez le Nationaliste… ».

 c- Déplacement du site des événements

Au moment où l’affrontement est presqu’en cours avec l’arrestation signalée de certains résistants dont Combattant Yon plusieurs fois arrêté en compagnie du Leader nationaliste et Combattante Aïssatou, les stratèges de 4A-2011 instruisent une stratégie d’intensification de la réclamation de la libération du Leader et de tous les autres interpellés. Mission est ainsi donnée aux éléments réservistes du jour de la Cellule d’Action de l’ « Armée Citoyenne de Résistance » d’engager, à tel site stratégique approprié dans la ville de Douala, toute action de nature à concourir à la satisfaction de l’exigence de libérer les interpellés. Moins de 40mn plus tard, le carrefour Ndokoti est sous le contrôle de nos éléments. Un meeting d’explication y est engagé et le lieu ne tarde pas à s’électrifier. Sous des acclamations nourries, l’oratrice principale, Combattante Eheg Aïcha soutien :

          « La Camerounité de notre Leader, Combattant MbouaMassok, est établie. En tant que tel, il a droit à la parole au Cameroun, surtout qu’il est constant qu’il a en abondance à dire. Et fort du fait que le pouvoir au service du néocolonialisme à la française est, à raison, convaincu que le message du  potentiel 3e Président du Cameroun, Combattant MbouaMassok, est porteur d’espoir pour l’ensemble du Peuple-Victime Camerounais et, en particulier, pour la jeunesse du Cameroun, tient à museler le Leader Nationaliste Camerounais le plus engagé, le plus déterminé, le plus agissant et le plus constant dans ce que notre Leader présente comme étant « la  lutte en faveur de la récupération des mains de la France-des-Gouvernants et prédatrice, des clés de la gestion de l’indépendance du Cameroun, ce Jardin que nos aïeux ont cultivé et nous ont légué ». Aussi, presque tous les médias sont-ils sous contrôle et sous pression du régime corrompu en place qui ici coalise avec une certaine opposition s’excluent-ils de la couverture des mobilisations chaque jour plus imposantes de « Résistance Jusqu’au But » ; aussi, les structures étatiques de délation et d’intoxication aussi bien que les forces répressives sont-elles en permanence et spécialement mobilisées en vue de diaboliser le « gêneur’’ et circonscrire à l’extrême la popularisation des idées qu’il  véhicule. Non ! Non ! et Non ! Combattant MbouaMassok doit être libre, sa parole toute aussi » a-t-elle conclu sous un tonnerre d’applaudissements. Tous les accès donnant au carrefour indiqué sont obstrués. Une population évaluée à plus de 7 milles personnes a suivi cette intervention et, toute déterminée, scande plus d’une heure durant : ‘’Libérez MbouaMassok, Libérez le Leader ; Libérez la parole du ‘’Général’’ Combattant  ; tout le monde scande : ‘’A bek Biya, MoufDé’’. Les renforts de toutes les structures de répression, (Anti émeute, lance eaux, gendarmes et polices ordinaires et spéciales) sont déjà sur les lieux et aggravent par leur présence une situation déjà suffisamment tendue. Les arrestations sont entreprises. Les populations et les résistants attitrés ne se laissent pas faire.

d- Du Bilan

        - Plusieurs blessés ; des portables et autres instruments de communication arrachés des mains de leurs propriétaires par les forces répressives de Monsieur Biya ;

       - Ils sont finalement 05 résistants arrêtés, torturés, conduits et détenus au Commissariat Central N° II de la ville de Douala, qui ne seront élargis que ce 8 mai 2011 vers 20h. Ce sont entre autres :  

      Eheg Aïcha ; Yon Daniel ; Donfack ; Aïsatou Ndjan. De manière toute spéciale est ‘’traitée’’ la résistante Eheg, une handicapée qui plus est, aura été trainée au sol et essuyé des coups de crosse, de points et de matraque, ‘’traitement’’ du fait duquel seul son passage à un centre de santé de la place est parvenu à atténuer les dégâts.

       - Ils sont  03 résistants arrêtés, torturés, conduits et presqu’immédiatement remis en liberté à la brigade de NdogBong. Ce sont : Sop Tchatto ; Siankam Thomas ; Bouba.

Nous notons qu’outre Sop Tchatto grièvement  touché aux  côtes droites par les coups de tous genres, il y a les résistants Ben Josué qui est grièvement brûlé le long de son pied droit, Kingue Bernard qui a subi un désaxement de ses coude et épaule droit et EparaTsafack qui s’est retrouvé avec des blessures légères aux deux tibias. Par ces cas, il est établi que la violence des structures répressives a été une fois encore au rendez-vous des manifestations pacifiques au Cameroun. 

                                           B- Actes 8 de Résistance Jusqu’au But

a-    Une matinée mouvementée au Pavillon

Le 11 mai, un meeting est, dans le cadre de l’opération concernée, prévu au Rond Point Dakar à Douala. Le rituel du pouvoir oppressif de Yaoundé en la matière est respecté. Aussi voit-on, dès les premières heures de la matinée,  le Pavillon du Devoir National encerclé par les forces répressives, ce jour les gendarmes. En tenue et armé, leur nombre est de 17 à 14h. Leur mission est d’empêcher le Leader Nationaliste qui, comme de coutume au terme de sa séance de sport à 7h, balaie la cour de sa résidence, de sortir de son domicile.

b-    Le Leader est bien au rendez-vous de Dakar

Malgré tout, le Leader est au rendez-vous du Rond Point Dakar dès 15h35 au centre d’un impressionnant va et vient des forces répressives toutes tendances confondues. Sans autre forme de procès, le Leader Nationaliste Panafricain est au centre du Rond Point sous les acclamations du Peuple-Victime dans une expression d’un enthousiasme à la hauteur de son attachement à l’endroit de son Leader. Sous la direction du Commissaire du 8e Arrondissement et du Commandant de Brigade de NdogPassi, les  forces répressives s’ébranlent.  Le Peuple présent aussi. Si bien qu’au moment où le Commissaire et le Commandant engagent l’approche de l’arrestation du Combattant MbouaMassok, le Rond Point indiqué est noir de monde. Le Commissaire signifie au Leader que les forces dont il assure la coordination ont mission d’empêcher jusqu’à la simple présence de ce dernier à cet endroit. Il ajoute qu’il détient des informations qui lui font craindre que le Leader soit, si jamais il tenait son meeting, agressé par des individus qui seraient déjà sur les lieux machettes en mains.

c-     Le Leader MbouaMassok« déporté » cette fois à son domicile

Alors que depuis le début des mouvements en rapport avec « Résistance Jusqu’au But » les arrestations du Leader Nationaliste sont suivies des déportations et des séquestrations dans des brousses pour certaines à plus de 100km de Douala, il se trouve qu’au carrefour de Dakar ce 11 mai 2011, la stratégie du pouvoir de Yaoundé est sur cette donne toute inverse. C’est ainsi que des échanges certes fermes mais courtois entre le Leader et sa garde rapprochée d’une part et, d’autre part les détenteurs locaux de l’autorité répressive, il ressort une astreinte pour Combattant, qui est de ne pas tenir le meeting. C’est alors que, face à la volonté des forces répressives de bousculer Combattant MbouaMassok dans un véhicule de police déjà positionné à cet effet, la garde rapprochée du Leader, énergiquement soutenue par la multitude présente soutenant qu’il n’est plus question de tolérer que le ‘’Général’’ de l’ «Armée» Citoyenne de Résistance subisse une énième déportation, oppose une résistance remarquée au fait de voir le Leader monter dans ledit car immatriculé SN 4022. Cette ferme résistance pacifique est payante puisqu’au final, les parties retiennent que le Leader Nationaliste Panafricain Agissant soit conduit à son domicile par un moyen conventionnel de transport. Le Commissaire intervient alors et propose que son véhicule soit à cet effet mis à profit, jurant que c’est dans le stricte respect des engagements pris. Le consensus est ainsi trouvé et le Leader monte dans le véhicule du Commissaire du 8e Arrondissement ; après quoi une frange qualifiée du Peuple présent signifie aux autorités, sa détermination d’agir promptement en sa manière au cas où l’engagement ainsi pris venait à ne pas être respecté. Dans ces entre-faits, la masse scande  « A bek Biya, MoufDé » slogan de « Résistance Jusqu’au But ».

Il y a à noter avec intérêt que tout se passe dans une approche de responsabilité et que les éléments agités parmi les policiers et gendarmes présents qui se proposaient de mettre la violence au centre de la gestion du dossier sont vite ramenés à l’ordre par les autorités des deux corps concernés. Il est 16h28 au moment où le véhicule de police immatriculé SN 3979 au volent duquel se trouve le Commissaire du 8e Arrondissement s’effraie un chemin au milieu d’une impressionnante marrée humaine pour mettre le cap sur le domicile du Leader. A bord, se trouvent aussi Combattant YON, le Commandant de Brigade de NdogPassi et deux autres éléments des forces répressives. Du fait de l’encombrement des lieux par le Peuple militant présent, la ligne de Nyassa est retenue. C’est autour de 17h30 que le ‘’Général’’ de l’ « Armée » Citoyenne de Résistance entre au Pavillon du Devoir National en compagnie de tous les occupant du véhicule de service. Notons qu’en dehors  du fait que l’appareil photo de la Division Communication rattachée aux Leader ait été arraché par violence exercée sur son porteur du jour, il n’y a eu de fait grave que ce qu’a rapporté comme ci-dessus au Leader, et se rapporte à un éventuel complot,  le Commissaire du 8e Arrondissement, qui mérite ici une attention particulière.

d- Projet d’assassinat du Leader Nationaliste MbouaMassok ?

Les informations rapportées à notre Leader par une personne qualifiée, ici le Commissaire de police en charge du 8e Arrondissement doivent être prises avec beaucoup de sérieux. Car dans le secteur où le Combattant avait rendez-vous avec un Peuple qui a répondu massivement à l’appel, (10 à 12 milles personnes) est celui où cette autorité de renseignements est le plus outillé en la matière. Et ce d’autant plus que de nos propres recoupages, il ressort que près d’une 20taine de personnes, sous l’autorité d’un sieur se présentant comme étant Chef du quartier où est situé le Rond Point Dakar, se sont retrouvées sur ce lieu de 14h15 à quelques instants seulement avant l’arrivée du Leader, chacun détenant justement une longue machette bien aiguisée. Ce d’autant plus que, devant l’officier de 2e grade s’étant le premier présenté au Leader dès sa présence sur la terre pleine du Rond Point concerné, un Monsieur accompagné de gens non dénombrées, s’interférant dans l’échange entre l’officier de police et le Leader. L’intéressé s’adresse alors en ces termes au Nationaliste devant ce témoin assermenté qu’est l’officier concerné et nous citons : « Combattant MbouaMassok, je suis le Chef de ce quartier…nous avons décidé que tu ne vas pas faire un meeting ici… ». Le Leader, prenant expressément l’officier à témoin, lui demande sur quelle base il prendrait sa qualité comme étant au dessus de celle de l’officier devant eux dans le cadre de la gestion des libertés citoyennes et de la préservation du maintien de l’ordre.

Nous trouvons bien grave ce fait, et souhaitons des autorités qu’elles prennent toute la mesure du sujet et l’éclaircissent au plus vite, surtout qu’il paraîtrait que presque tous les impliqués soient d’une même région du Cameroun et, additivement militants du RDPC. Car ce n’est pas autrement que sont souvent mises en place les bases du déclenchement des affrontements politiques à perspectives de guerre tribale, de guerre civile.

e - « Résistance jusqu’au but » ira vraiment jusqu’au But

Rendez-vous au Carrefour Dakar, 28 mai 2011 à 13h

Il y a à relever que comme son nom l’indique, il faudra plus pour désarticuler « Résistance Jusqu’au But ». Surtout pas le profil bas déplorable de la presse et de ses ouvriers  et ouvrières qui brillent par leur absence quant à la couverture des événements de RJB ; surtout pas la formule répressive d’interdiction des rassemblements y ayant trait. Ce d’autant que la détermination, l’équilibre éthique et moral de ses promoteurs dont le Leader Nationaliste sont sans précédent. Ce d’autant que tous les éléments de la Cellule d’Action au sein de 4A-2011 sont les « 4P », c’est-à-dire, pour la Patrie et le triomphe de la cause, Prêts aux humiliations, Prêts aux tortures, Prêts aux emprisonnements, Prêts à la mort. C’est donc ainsi que se tient le 28 mai 2011 à 11h, au Rond Point Dakar, l’Acte 9 de « Résistance Jusqu’au But », à savoir la Conférence de présentation publique, en grande première, du document de référence intitulé « Voici Mon projet de Refondation du Cameroun » qui véhicule la pensée politique qui gouverne depuis une trentaine d’années la globalité de l’action politique militante du Leader Nationaliste Panafricain Agissant et potentiel 3e Président de la République du Cameroun, ‘’Nka’a Mbok’’ MbouaMassok. Tout le Peuple-des-Victimes du régime Biya, y compris ceux de nos frères et sœurs concernés au sein de nos forces en armes, est convié à y être, sans peur de rien ni de personne. C’est ici que se justifie cette pensée de notre Leader  « Ce n’est pas dans la chambre, la cuisine ou le WC… qu’un peuple fâché  exprime sa colère. La RUE est le lieu le plus indiqué pour cela ». A l’occasion, NOUS, Peuple-des-Victimes, allons scander en chœur : A bek Biya, MoufDé, résister à toute tentative d’arrestation des nôtres, avec à l’esprit que « Celui qui veut du miel doit avoir le courage d’affronter les abeilles ». Ensemble, affrontons les abeilles.

Que la solidarité de tous soit la garantie de la sécurité de chacun.

 

Pour 4A-2011
Cbt. Tagne H. Yaya                                                                                                                
Nationaliste Panafricain Agissant
Tél : 97 79 55 52                                                                                        Douala-Cameroun, PDN, 9 mai 2011

 

 

 

ADS

 

Lire aussi : Ce que pense Maurice Kamto du tribalisme au Cameroun
Lire aussi : Abdouraman Hamadou Babba : «Le Président du Conseil constitutionnel, est obligé d'expliquer pourquoi le Président de la République veut prolonger le mandat des députés»
Lire aussi : L’honorable Nourane Fotsing appelle à la libération de Bibou Nissack le porte parole de Maurice Kamto

ADS

ADS

Les plus récents

Rechercher un article

ADS

ADS