Cameroun - Education. Avant-scène: Les Universités françaises en promotion au Cameroun

Adeline TCHOUAKAK | Le Messager Mercredi le 14 Novembre 2012 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
C’est l’un des objectifs du Salon pour la promotion des études françaises (Sapef) qui s’ouvre jeudi 15 novembre 2012 à Douala.

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Jour-j moins un ! Et Bruno Gain, ambassadeur de France au Cameroun, prendra la route de Douala pour l’ouverture de la première édition du Salon pour la promotion des études françaises (Sapef). Ce sera à la salle des fêtes d’Akwa, site retenu pour la tenue du Salon du 15 au 17 novembre 2012. Une initiative de l’Institut français du Cameroun. Elle a pour objectif, présenter la carte des formations délocalisées et co-diplomates proposées au Cameroun en partenariat avec des établissements français, faire la promotion de l’enseignement supérieur français, servir une information fiable et directe aux élèves et étudiants sur l’évolution des emplois proposés et compétences recherchées par les entreprises du Cameroun. C’est aussi le lieu pour les principales cibles de ce salon à savoir, élèves, parents et étudiants, de s’informer sur le choix des filières, et d’en savoir un peu plus sur le concept « Campus France ». Les responsables des relations internationales des différentes Universités et écoles locales en profiteront aussi pour échanger avec des responsables de grandes écoles et Universités invités au salon.

Elles sont au total 34. Des Universités, grandes écoles et entreprises invitées à cette première édition du Salon pour la promotion des études françaises. Donc, 18 Universités et grandes écoles françaises, 11 camerounaises, 1’institut inter-état et 4 entreprises. Pendant les trois jours que va durer le salon, ces derniers vont exposer leur savoir-faire et entretenir les visiteurs estimés à près de 10 000, à travers des conférences et ateliers. Quelques thèmes retenus pour ces échanges sont, « les formations et les débouchés professionnels en management », « les métiers du pétrole », « la professionnalisation de la formation : la formation par alternative et les perspectives dans le domaine de la recherche de l’emploi au Cameroun », «les emplois du développement», «les formations et les débouchés professionnels en sciences fondamentales», « choisir une filière après le Bac : choisir une filière courte après le Bac » etc.

Pendant la conférence de presse d’annonce de ce salon la semaine dernière, Aïda Sy-Wonyu, la directrice adjoint de l’Institut français du Cameroun de Douala a révélé que le Cameroun est un lieu favorable à ce salon parce qu’au niveau de la sous-région, c’est le pays où il y a le plus d’Universités d’Etat et grandes écoles d’enseignements supérieurs. Aussi parce que la France est la première destination des étudiants Cameroun dans le monde. Ce choix s’explique par des liens historiques qui existent entre le Cameroun et la France. Loin de profiter seulement aux établissements français, la responsable de l’Ifc Douala a confié que le Salon pour la promotion des études françaises est un plaidoyer à l’endroit du ministère de l’Emploi et de la formation professionnelle qui pourrait alléger les charges aux entreprises pour leur permettre de prendre en charge la formation de certains étudiants. Un enrichissement selon l’enseignante sur le long terme et un moyen efficace pour combattre le chômage.

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