Cameroun - Gouvernance. Eto’o n’a pas apprécié le Poisson d’avril de Jeune Afrique

cameroun24.net Mardi le 03 Avril 2018 Sport Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Jeune Afrique et France 24 l’ont annoncé candidat à la prochaine présidentielle. L’international camerounais a vivement réagi hier rapporte CT.

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Simple « poisson d’avril » ? Toujours est-il que quelques heures après l’information diffusée par certains de nos confrères, sous le titre d’une « interview imaginaire » accordée à l’hebdomadaire Jeune Afrique, le triple vainqueur de la Champions League européenne y est allé de son droit de réponse, afin de remettre les choses à leur place. Notamment en dénonçant ce qu’il appelle un « canular malfaisant aussi bien sur la forme que sur le fond ».

Là où on l’annonçait rêver du Palais de l’Unité comme « Jules César rêvait de Rome », l’international camerounais se veut clair : « En tant que Camerounais, je suis profondément respectueux des institutions de mon pays et ceux qui les incarnent ». Pour lui, l’élection présidentielle à venir au Cameroun de même que l’exercice de la fonction suprême « sont très importants pour que l’on puisse en parler avec autant de légèreté ».

Samuel Eto’o Fils regrette en outre la mauvaise relation qui est faite entre cette supposée candidature et la crise dans les régions du Nord- Ouest et du Sud-Ouest « qui cause tant de désolation et le deuil dans mon pays ».

Regrettant que ces médias, au rang desquels Jeune Afrique, France 24 n’hésitent pas à profiter de ce prétendu « scoop » pour « étaler le fond de leurs pensées sur le Cameroun », le goleador camerounais fustige également les « références malsaines à la première dame du Cameroun, à son épouse ou à (son) rapport à la gestion du pouvoir et ses relations avec ses aînés.

Tout en sollicitant la publication d’un droit de réponse, Samuel Eto’o Fils se réserve néanmoins le droit de poursuivre les auteurs de ces affirmations devant les juridictions pour diffamation.

Jean Francis BELIBI

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