Cameroun - Football. Fecafoot c. Abdouraman Hamadou : Le TAS donne raison à la CCA/CNOSC !!!

Steve Djouguela | Mboafootball Dimanche le 02 Aout 2015 Sport Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Alors que la Fécafoot avait interjeté appel auprès du Tribunal arbitral du Sport suite à une sentence de la Chambre de Conciliation et d’Arbitrage du Comité national olympique et sportif du Cameroun relatif à l’annulation du processus électoral, l’instance internationale a donné raison aux arbitres de la CCA/CNOSC qui s’en trouvent ainsi confortés dans leurs positions.

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« Le tribunal arbitral du sport prononce : 1- l’appel déposé le 20 novembre 2014 par la Fédération camerounaise de football à l’encontre de la sentence de la Chambre de Conciliation et d’Arbitrage du Comité national olympique et sportif du Cameroun en date du 30 octobre 2014 est rejeté. 2- La sentence de la Chambre de Conciliation et d’Arbitrage du Comité national olympique et sportif du Cameroun en date du 30 octobre 2014 est confirmée. 3- Les frais du présent arbitrage, dont le montant sera communiqué par le greffe du Tas dans une décision séparée, sont supportés par la Fédération camerounaise de football. 4- La Fédération camerounaise de football doit verser à Monsieur Abdouraman Hamadou Babba la somme de CHF 2000 (deux mille francs suisses) au titre de contribution à ses frais relatifs à la présente procédure. 5- Toutes autres ou amples conclusions sont rejetées ». Telle est en substance la décision rendue par le Tribunal arbitral du Sport dans l’affaire qui a opposé la Facafoot à Abdouraman Hamadou Babba.


Une décision qui vient conforter la Chambre de Conciliation et d’Arbitrage dans ses positions, elle qui est extrêmement contestée par Joseph Owona et quelques uns de ses amis à la Fifa. Avec cette sentence, le TAS donne tout son crédit à la CCA qui n’a pas à douter de ce qu’elle dit le droit, sans aucune partialité, pour le bien du sport en général, du football en particulier. Les nombreuses tentatives d’intimidation et même de corruption dont certains de ses membres ont fait l’objet n’ont jamais fait changer de cap à cette Chambre qui doit son existence à une loi adoptée par l’assemblée et promulguée par le Chef de l’Etat. Les jérémiades et les vaines contestations des uns et des autres ne doivent pas ébranler les arbitres de cette Chambre qui sont sous les feux des projecteurs depuis quelques mois à cause (ou grâce, c’est selon) au football.
 

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