Cameroun - Football. Fecafoot : Depays, Ebellè, Mouandjo et Ngo Ntep pourraient subir le même sort que Pierre Claver Oyono

Joël Atanga | Mboafootball Dimanche le 04 Octobre 2015 Sport Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Après avoir viré sans ménagement le coordonnateur des équipes nationales, plusieurs employés de la Fecafoot sont dans une situation inconfortable.

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Connaissant le personnage Tombi A Roko Sidiki, plusieurs employés de la Fecafoot ont des soucis à se faire. Du temps où il était Secrétaire général de la Fecafoot, Tombi A Roko Sidiki avait déjà montré qu’il n’aimait pas forcement certains employés de la Fecafoot. Maintenant qu’il a les pleins pouvoirs, il y a lieu de se demander quel est le sort qui sera réservé à ces compatriotes qui ne demandent qu’à servir le football de leur pays.


Robert Depays, responsable de la sécurité à la Fecafoot est le premier que le nouvel homme fort de Tsinga va certainement écraser. Ses malheurs ont commencé le jour où John Begheni Ndeh, Essomba Eyenga, David Mayebi et Alioum Alhadji avaient pris le siège de la Fecafoot en otage. Tombi A Roko Sidiki lui en a voulu parce qu’il les avait laissés franchir le portail de la Fecafoot. Depuis ce jour, Robert Depays a subi toute sorte d’humiliations dans l’exercice de ses fonctions au siège de la Fecafoot. Aujourd’hui, ces personnes qu’ils avaient laissées entrer dans l’enceinte de la Fecafoot sont membres du comité exécutif pour certains et membres du comité d’urgence pour d’autres.


Louis Ebellé en service au secrétariat permanent du football jeune à la Fecafoot est également un des employés qui a toujours souffert le martyr à Tsinga. On lui a toujours reproché d’être proche de David Mayebi, a qui il donnerait toutes les informations sur les frasques des dirigeants de la Fecafoot. Les prochains jours s’annoncent difficiles pour Louis Ebelé, à moins que David Mayebi ne décide de plaider pour lui auprès de Tombi A Roko Sidiki, son nouveau partenaire d’affaires.


Jean Jacques Mouandjo en service au département de la communication est l’employé le plus lésé depuis que Tombi A Roko Sidiki est arrivé au siège de la Fecafoot. Malgré le travail qu’il abat depuis plusieurs années pour donner une certaine visibilité aux activités de la Fecafoot à travers leur site internet, Jean Jacques Mouandjo a toujours été écarté au moment des récompenses. Pour la dernière coupe du monde au Brésil, la Fecafoot avait amené au pays du roi Pelé une quarantaine de journalistes, tous frais payés. Jean Jacques Mouandjo, unique journaliste formé en service à la Fecafoot avait été royalement ignoré. Le même scenario a été vécu en Guinée équatoriale à la dernière Can où la Fecafoot a déployé une trentaine de journalistes sans qu’à aucun moment le nom de Jean Jacques Mouandjo ne figure sur la liste.
Ngo Ntep du service du courrier de la Fecafoot n’est pas dans les bonnes grâces de l’actuel président. Elle aura peut être la vie sauve parce qu’elle est délégué du personnel, donc pas facilement attaquable selon le code du travail. Il n’est pas exclu que certains de ces employés soient affectés dans l’arrière pays.

 

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