Cameroun - Musique. Droit d’auteur :Les fausses notes de l’art musical

Mutations Vendredi le 22 Mai 2015 Culture Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Ce secteur a traversé diverses crises depuis l’arrivée d’Ama Tutu Muna à la tête du ministère de la Culture.

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A la suite de la liquidation de la Société civile nationale du droit d’auteur (Socinada) en 2005, le chef de l’Etat nomme Manu Dibango comme président du conseil d’administration de la nouvelle société baptisée alors Cameroon Music Corporation (Cmc). Vivant à Paris en France, le père de Soul Makossa est accusé de malversations financières. A la suite de sa démission, Sam Mbende est élu Pca le 16 avril 2005. Il occupera ce poste jusqu’au 7 juin 2008, au lendemain de l’arrivée de Ama Tutu Muna, nommée ministre de la Culture en 2007.

 

Cette dernière retire alors l’agrément à la Cmc au profit de la Société camerounais de l’art musical (Socam). Secouée par de violentes crises durant le mandat de Odile Ngaska, la Socam passe par des étapes difficiles jusqu’à l’élection du 3 novembre 2013 de Ndedi Eyango,  dont l’élection sera invalidée le 23 décembre de la même année par la Minac. Cette dernière lui reproche sa double nationalité (camerounaise et américaine).  A la suite de plusieurs tractations, en passant par une pléthore de consultations de nombreux artistes, la Minac va mettre sur pied des comités de redressement et de normalisation avec des mandats de deux et six mois. Les résultats de ces deux comités ad hoc sont toujours attendus, plus d’un an plus tard. Dans l’intervalle, une nouvelle société de gestion collective du droit d’auteur dans l’art musical est née. Annonçant encore des crises dans e secteur décadent…

 

M.A

 

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