Cameroun - Culture. Douala : Petit Pays chante au Ngondo

Nana P.S | La Nouvelle Expression Mardi le 07 Décembre 2010 Culture Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Après avoir conclu un arrangement à l’amiable avec le plaignant.

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Activement recherché depuis une dizaine de jours pour une affaire d’escroquerie, l’artiste Petit Pays, par ailleurs président général de Caïman club d’Akwa, était très attendu à Bangangté, où son équipe disputait un match de championnat d’elite one. Il a préféré réapparaitre en public sur les berges du Wouri. L’artiste affichant une allure gaie, revêtu d’une simple tenue de sport, a chanté sur un car podium des Brasseries du Cameroun, au bonheur de ses nombreux fans dont certains, presque en transe et surpris de le voir à cet endroit, n’ont pas manqué de se poser la question sur le dénouement de l’avis de recherche lancé contre leur idole.

Son retour au devant de la scène était envisagé depuis vers la fin de la semaine dernière. Selon une source proche du dossier, des tractations ont débuté jeudi, quand certains amis fidèles à Claude Adolphe Moundi, alias Petit Pays, à l’instar de Moulongo Oscar, se seraient rendus chez le procureur de la République près le tribunal de première instance de Douala, pour plaider la cause de l’artiste. A la suite de cette démarche, les deux parties en conflit auraient conclu un arrangement à l’amiable.

Joint au téléphone pour recouper cette information, Serge Djimi Andze, le plaignant, n’a pas souhaité se prononcer. Et quand nous insistons, il donne rendez-vous ce lundi matin: « Je suis au volant en train de conduire. S’il vous plait, n’insistez pas ! Rappelez-moi demain matin, pour qu’on en parle plus tranquillement. »

Si, dans un premier temps, l’accusé a reconnu avoir perçu la somme de six millions de francs qu’il a d’ailleurs proposé de rembourser parce qu’il n’a jamais honoré le contrat de spectacles passé entre lui et le plaignant, il a, contre toute attente, retourné sa veste peu de temps après. Dans une lettre ouverte publiée sur le site Camfoot, l’artiste estime que le plaignant a abusé de sa gentillesse. Car, affirme-t-il, « j’ai accepté de collaborer malgré le faible taux de cachet proposé. » Rabba Rabbi affirme dans la foulée que le plaignant n’avait pas respecté les termes de leur contrat et que l’échec des spectacles programmés est le fruit de son amateurisme. « Je pense que c’est moi qui devais faire le tour dans les commissariats pour me plaindre, parce que cette histoire là a sérieusement remis en cause ma bonne foi », s’indigne l’artiste qui, plus loin, pense qu’il y a derrière cette affaire une cabale montée contre sa personne par ses détracteurs…

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