Paul Biya. Brenda Biya.com

Georges Dougueli | Jeune Afrique Mercredi le 16 Novembre 2016 Culture Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Instagram, Facebook, Twitter… Les réseaux sociaux n’ont plus de secret pour elle, comme pour la plupart des jeunes de son âge.

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Mais Anastasie Brenda Biya Eyenga, du haut de ses 18 ans, n’est pas une jeune femme comme les autres. Ce dont elle fait régulièrement l’expérience – à son détriment. Le moindre de ses faits et gestes est épié par des hordes d’internautes prêts à la crucifier sans autre forme de procès. Début février, la polémique s’est déchaînée.

Depuis les États-Unis, où elle réside, elle se plaint sur Snapchat d’avoir été éconduite par un chauffeur de taxi californien, raciste selon elle, alors qu’elle rentrait de l’université d’Irvine. Le prix de la course pour rejoindre sa villa de Beverly Hills ? 400 dollars, qu’elle mentionne benoîtement en se filmant avec son portable. L’étudiante s’est excusée depuis, mais la Toile ne l’a pas épargnée.

Née au palais d’Etoudi, elle a fréquenté les écoles maternelle et primaire du complexe Les Coccinelles, spécialement créé pour le personnel de la présidence. Avec son frère aîné Paul junior, elle a ensuite intégré l’internat du prestigieux Collège du Léman, à une dizaine de kilomètres de Genève. Avant de rejoindre les États-Unis, où elle poursuit ses études.
 

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