Vous pensiez échanger suffisamment avec votre partenaire sur votre sexualité sans qu’il soit nécessaire que cette investigation soit menée en dehors de la zone de votre couple. Une étude dirigée par la chercheuse canadienne E. Sandra Byers révèle pourtant qu’en matière de sexualité, vous ne connaissez en moyenne qu’un quart des aversions de votre compagne. Vous n’en savez guère plus à propos de ce qui l’excite.

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Par ailleurs, une autre étude menée par l’Université de Penn nous apprend que les femmes parlent entre elles significativement plus de sexe, et tout ce qui s’y rapporte, que ne le font les hommes. Elles sont particulièrement à l’aise dans l’exercice et se sentent rarement censurées par des tabous. Le magazine britannique askmen a ainsi compilé pour vous leurs sujets de prédilection dans ce domaine :

La physionomie de votre pénis

Commençons par ce qui vous terrifie le plus : taille, goût, senteur, circoncision, tâche de naissance, si vous êtes un "capitaine crochet" (courbe et non droit) etc. Elle a sûrement eu l’occasion de l’observer de près, et telle une femme des cavernes sélectionnant le meilleur mâle reproducteur, elle s’assure de la qualité de votre pénis en le comparant aux autres. Rassurez-vous tout de même, elle en parlera d’autant plus qu’elle est "fière" de ce que vous avez à offrir. Les femmes se moquent des petits pénis de leur coup d’un soir ou de leurs ex mais rarement de ceux de leur partenaire de longue date.

Votre "style" sexuel et votre endurance

Dans le cas d’un premier rapport sexuel avec vous, soyez sûr que votre partenaire partagera les minutes de la rencontre avec ses amies. Les positions sexuelles utilisées, combien de fois chacune, la mue de votre attitude, les bruits que vous poussiez ou non, et les bizarreries propres à chacun. Pourquoi ? Une étude italienne menée par l’Université de Pise nous apprend que l’attraction sexuelle et la "chimie" sont déterminantes au début d’une relation, tout cela étant régulé par une hormone appelée neurotrophine. Votre partenaire, en revenant sur vos premiers ébats, va chercher à évaluer la valeur de la connexion établie.

Votre générosité (ou votre radinerie)

Cette catégorie comprend votre attitude générale (si vous êtes romantique, attentionné etc.) mais aussi les moments bien spécifiques de l’action. Ce que vous avez fait de vos mains et de votre bouche, si vous étiez attentif à ses réactions ou si vous n’étiez là que pour vous, autant de comportements que vous avez eu plus ou moins consciemment mais qui n’échappent pas au radar féminin. Une étude menée par l’Institut Kinsey révèle que les femme hétérosexuelles ont en moyenne moins d’orgasmes par rapport que les femmes lesbiennes (61,6% contre 74,7). Cela signifie qu’au cours d’une rencontre entre un homme et une femme, l’acte d’altérité et de découverte d’un territoire inconnu l’emporte dans un premier temps sur la recherche de jouissance.  Tâcher de ne pas brusquer ces étapes si vous ne voulez pas finir sur la table d’opération de la prochaine soirée entre filles.

Vos compétences, comparées à celle de son meilleur amant

Malgré le paragraphe précédent, si vous parvenez à la faire jouir autant qu’à établir une vraie connexion (l’un peut aider l’autre), c’est tout bénef’. Si vous l’avez positivement surprise avec quelque chose qu’elle n’avait jamais vu auparavant, si votre seule présence la rend toute chose, vous avez de bonnes chances de récolter un débriefing post-coït élogieux auprès de son cercle d’amies. Pas de panique tout de même si vous ne recevez pas directement la médaille d’or, puisque plus de la moitié des femmes avouent que leur meilleur amant est un partenaire antérieur et non actuel mais que cela n’influe pas sur leur préférence. Vous aurez, en tout cas, une marge de temps pour progresser si vous l’avez conquise partout ailleurs.

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