Cameroun - Faits divers. Dschang : Un cinquantenaire soupçonné de viol d’une jeune truie

Vivien Tonfack | La Nouvelle Expression Lundi le 18 Avril 2016 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
L’acte ignoble aurait été accompli dans la nuit du mercredi 12 au jeudi 13 avril 2016, au lieu-dit «Tsinfeng»

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Certains en rient, d’autres s’étonnent. En vérité, le présumé ébat sexuel entre le sieur Gilbert F., âgé de 53 ans, et une truie ne laisse personne indifférent. Plusieurs de nos sources à Dschang nous rapportent une histoire invraisemblable qui s’y serait produite ; précisément au lieu-dit « Tsinfeng ». En effet apprend-on, dans la nuit du 12 au 13 avril 2016, autour de 3 heures, un habitant de ce quartier est surpris par des grognements stridents de sa jeune truie casée à la porcherie. D’emblée, il ne développe aucune suspicions. Toutefois, il ira voir ce qui pousse réellement sa truie à adopter ce comportement inhabituel. Sauf qu’à la porcherie, il constate curieusement que l’animal y est toute seule. A peine est-il rentré se coucher que les grognements recommencent. Dès lors, la thèse d’une visite des voleurs lui vient à l’esprit. Malgré la peur, il fonce de nouveau dans la nuit noire ; mais ne trouve toujours personne. Etonné de la persistance de ces cris, il feindra d’être entré dans la maison, et va se cacher dans un coin à partir duquel, il peut bien observer la porcherie à distance. Muni d’une lampe torche, il aurait aperçu un homme en érection partir d’une cachette pour bondir sur l’animal. Pendant qu’il accomplissait son abomination, le propriétaire de la truie s’est mis à hurler pour ameuter ses voisins. Subito presto, tout le quartier est debout. Mis au parfum de cette abjection, ils s’engagent à vérifier. Rendus dans la porcherie, les habitants du quartier constatent que la truie saigne abondamment. Et à côté, il y avait des vêtements. En effet, surpris dans sa sale besogne, Gilbert aurait détalé, en laissant un pied de sa chaussure, ainsi que sa chemise dans laquelle se trouvait son trousseau de clés. Après avoir longtemps erré dehors, Gilbert retourne chez lui en espérant d’y entrer par effraction. Pendant qu’il s’apprête à le faire, il est rattrapé par des habitants du quartier qui, ayant formellement identifié sa chaussure et sa chemise, s’étaient mis à ses trousses. Soumis à un interrogatoire musclé, le quinquagénaire aurait nié tout en bloc. Indiquant qu’il revenait non pas de la porcherie en question, mais plutôt d’une carrière de sable. Cet argument n’a pas convaincu ses voisins qui l’ont copieusement molesté. Aux dernières nouvelles, Gilbert F. qui ne serait pas à son premier coup, présente des signes de démence. La truie, elle qu’il est accusé d’avoir violé, n’a toujours pas cessé de saigner. Son propriétaire qui cherchait à la faire croiser, est dans la tourmente.
 

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