International. Mme Ilaria Allegrozzi est-elle une trafiquante ?

cameroun24.net Mardi le 28 Avril 2020 Opinion Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Sur le site web officiel de « Human Right Watch », Mme Allegrozzi est présentée comme une experte ayant plus de 15 ans d’expérience dans les zones de conflit en Afrique.

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En effet, Mme Allegrozzi aurait séjourné au Mali, en Guinée, en Centrafrique et au Cameroun, bref dans la plupart des zones de troubles armés en Afrique noire.Or d’après Charlie Robinson, l’auteur du livre intitulé « The Octopus of Global Control », il y a trois trafics qui se déroulent toujours de façon inévitable dans des zones de conflit :
1.    Le trafic des armes qui implique les grandes industries d’armements, des trafiquants et des services de renseignement.
2.    Le trafic de drogue : dont les grands trafiquants sont protégés par des gouvernements et qui implique souvent les services de renseignements. C’est lui qui finance les guerres secrètes et clandestines de certains Etats.
3.    Le trafic humain qui est l’objet de notre intérêt dans cet article
Si les deux premiers trafics cités sont protégés par des lobbies puissants, le dernier l’est davantage par un lobby encore plus puissant, et pour cause, il implique sinon la totalité, au moins la majorité des familles les plus puissantes dans le monde.
Le trafic humain couvre entre autres choses :
•    Le trafic d’organes : Celui-ci est très prisé dans les classes des élites vieillissantes n’ayant pas la patience d’attendre dans les listes de transplantations d’organes
•    Le trafic de sexe : Bien pratiquée aussi dans la jet-set pour le plaisir
•    La matière brute pour les sacrifices humains dans les rituels sataniques.
•    La production de l’Adrenochrome

L’Adrenochrome est extraite du sang de jeunes enfants à qui l’on fait subir de terribles sévices pour créer un grand stress chez l’individu, qui à son tour entraine la production d’un maximum d’adrénaline.Ils sont par la suite vidés de leur sang que l’on conditionne et transforme en Adenochrome pour ensuite le livrer à une population apparemment au-dessus de tout soupçon qui en est friande. Les adeptes de ce liquide le considèrent comme une source inégalable de jouvence dans une société vieillissante qui fait le culte de la jeunesse et qui dans le processus veut lutter contre le processus naturel du vieillissement.
Les architectes de ce trafic humain, conscients du fait que l’humanité ordinaire abhorre cette pratique, l’ont habillée d’une organisation qui lui procure une couverture au-dessus de tout soupçon.Ainsi, ses agents sur le terrain se présentent habituellement comme appartenant à des ONGs philanthropiques. Ces organisations s’emploient à parfaire leurs protections en se présentant comme les principales défenseuses de leurs victimes ; elles savent qu’elles n’ont pas le moindre droit à l’erreur étant donné le tollé général que la découverte de leur vrai dessein pourrait soulever.
C’est ce qui s’est passé en 1999 avec la compagnie de service (Aviation, Logistique, Consultation) américaine DynCorp très impliquée dans le trafic d’enfants en Yougoslavie, profitant du conflit en Bosnie. Ce trafic fut dénoncé par Kathryn Bolkovac qui a également accusé l’ONU de couvrir les abus sexuels de ses agents de la paix. Le tollé provoqué entraina la dissolution de la branche locale de DynCorp qui n’a en fait servi que de fusible, protégeant les véritables commanditaires. D’ailleurs, l’une de ses pilotes impliquée dans ce trafic, l’ex-top model Nadia Marcinkova fut plus tard embauchée par Jeffrey Epstein…le fameux pédophile, ami de personnalités puissantes qui se « suicida » dans une prison de haute sécurité.
Un autre exemple de personne ou d’organisation prise en flagrant délit de trafic d’enfants dans les zones en détresse est celui de Laura Silsby de la Fondation Clinton, qui fut prise la main dans le sac par la vigilance des autorités haïtiennes entrain de vouloir trafiquer 33 jeunes haïtiens. Elle fut jugée coupable de trafic et jetée en prison à Haïti. Après 6 mois de réclusion, Bill Clinton vint personnellement la faire libérer…. Depuis, elle a repris du service dans une autre organisation humanitaire, le système d’alerte rapide des enlèvements d’enfants aux Etats-Unis appelé, « Amber ».
Parlant donc de Haïti, l’ancien employeur de Mme Allegrozzi OXFAM Grande-Bretagne y a également été expulsé pour trafic humain… Celle-ci qui en passant pourrait être un agent du MI6 britannique (le service de renseignement britannique) devrait expliquer sa propension à travailler pour des organisations impliquées dans les trafics humains et son amour pour les zones de conflit dangereuses mais qui lui confèrent un minimum de supervision de ses activités. Cela semble lui convenir car ces zones constituent des terreaux idéaux pour l’exercice de tels trafics.
Au Cameroun par exemple, le massacre de Ngarbuh ne peut pas trouver une explication logique si l’on n’introduit pas l’hypothèse du trafic humain. Comment se fait-il que dans nos zones rurales oùles gens rejoignent leurs domiciles à 19heures pour ne plus en sortir, autant d’enfants et de femmes se retrouvent en compagnie des « rebelles » à une heure aussi tardive (autour de 23 heures) ? Le gouvernement camerounais a avancé le chiffre de 13 personnes dont 10 enfants et 3 femmes, alors que Mme Allegrozzi parlait de 38 personnes au total, ce qui ironiquement rend encore plus pertinente la question posée et plus plausible l’hypothèse d’un trafic humain.En effet, si sous une forme ou sous une autre l’on administre à ces victimes des traceurs électromagnétiques, il devient tres facile de les traquer par satellite et de les enlever.  
Les massacres imputés à l’armée du Cameroun se sont pour la plupart déroulés pratiquement dans les mêmes conditions. Parmi les sites de massacre, l’on a inventorié :
•    Bakweri Town
•    Buea Town
•    Ekoma
•    Esu
•    Kwa-Kwa
•    Martha
•    Menka-Pnyin
•    Munyend
•    Ofen-Tben
•    Sam-Soya
•    Weh
•    Wum
La constance dans ces massacres est toujours la présence des enfants en compagnie des « rebelles ».
N’oublions pas de signaler les enlèvements qui n’ont pas débouché sur des catastrophes humaines grâce à la bravoure des soldats de l’armée régulière du Cameroun. A titre d’exemple l’on peut citer :
•    Le 16 Janvier 2019, 36 civils sont enlevés à Ediki.
•    Le 16 Février 2019, 176 personnes, jeune pour la plupart sont enlevés au Collège Saint Augustin de Kumba.
•    Le 12 Juillet, 30 passagers d’un autobus sont enlevés à Belo.
•    Le 14 Octobre, 11 travailleurs des plantations sont mutilés, et 4 sont enlevés a Tiko
•    Le 15 Octobre, des élèves du Lycée Bilingue de Nkambe sont enlevés.
•    Le 9 Novembre, 12 étudiants sont enlevés à l’Université de Bamenda.
•    Le 28 Novembre, 6 étudiants de l’Université de Buea sont de nouveau enlevés.
Si la liste des enlèvements connus est presque interminable, qu’en est-il donc de la majorité d’entre eux qui passe sous les radars signifiant que le nombre d’enfants enlevés pourrait déjà atteindre des proportions alarmantes.
Mme Allegrozzi serait peut-être bien placée pour nous dire ce que sont devenus toutes ces personnes enlevées.
Si rien de sinistre et de parfaitement organisé ne se cache derrière ces activités morbides, comment se fait-il que les ONGs au service des droits de l’homme n’en parlent presque jamais ?Pourquoi cette indignation sélective et cet acharnement envers les forces de de sécurité camerounaises ? Les rapports de Mme Allegrozzi ne sont-ils pas que l’expression de la frustration que les forces de l’ordre camerounaises lui causent quand elles interfèrent dans l’exercice serein du trafic ?

N’appelle-t-on pas de tous les vœux le départ des troupes camerounaises des zones de conflits afin de les transformer en un eldorado de trafic humain pour le plus grand bonheur des commanditaires ?
L’incendie des écoles ne participe-t-elle pas à ce chaos dont le but est de rendre impossible le traçage des jeunes enfants Camerounais disparus ?
Le trafic d’enfants étant un phénomène universel, car d’après le Centre National Américain pour la Disparition et l’Exploitation des Enfants, environ 800 000 enfants disparaissent chaque année aux Etats-Unis. Même si la plupart sont retrouvés, il y en toujours des milliers qui ne rentrent pas à la maison chaque année. Si ce phénomène peut avoir une telle ampleur dans un pays aussi bien structuré, il est facile d’imaginer ce que cela peut représenter dans des zones troubles en Afrique.
 La logistique qui soutient une aussi vaste entreprise ne peut être mise en place en Afrique qu’avec la participation active de forces exogènes au continent.Les responsables politiques africains devraient engager le plus rapidement possible des investigations sur des aventuriers venus d’ailleurs et qui voient l’Afrique comme un terrain très fertile pour leurs activités criminelles.Cela dit, ce travail doit se faire en excluant systématiquement les Institutions internationales qui sont contrôlées justement par les personnes qui tirent les ficelles de cette entreprise satanique.
Ces trafics ne se limitent pas à des zones de conflits des pays du tiers-Monde. Les prisons constituent une autre cible de choix pour ces prédateurs d’un autre genre. La population carcérale étant marginalisée par la société devient une cible facile à piéger à travers l’offre des programmes de réinsertion sociale. Mais au lieu de cela, ils deviennent souvent des victimes, ou des bourreaux de service du trafic d’organes. Dans certains pays, il est même dit que les personnes ayant souscrit au don d’organes en cas de décès accidentel sont souvent négligées et abandonnées à la mort pour que l’on puisse collecter leurs organes.
Tout ceci nous amène à nous poser des questions sur la véritable nature des organisations humanitaires comme Amnesty International pour qui Ilaria Allegrozzi a travaillé et qui se focalise sur les prisonniers, et Human Right Watch pour qui elle travaille présentement et qui s’occupe des zones de conflit.


Gabriel Makang pour le Sphinx Hebdo




 

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