Grippe aviaire. Six mois après la découverte du dernier foyer de grippe aviaire, la restriction de la circulation des volailles reste en vigueur à l’Ouest du Cameroun

Investir au Cameroun Mercredi le 20 Septembre 2017 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Depuis le 13 mars 2017, date de la découverte d’un foyer de grippe aviaire dans la ville de Foumbot, située dans le département du Noun, région de l’Ouest-Cameroun, aucune autre alerte à cette épizootie n’a été déclenchée dans le plus grand bassin de production de poulets au Cameroun.

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Cependant, comme c’est le cas dans le département de la Mifi depuis septembre 2016, la circulation des volailles demeure interdite dans le Noun, conformément aux mesures restrictives prises par les autorités publiques dès le déclenchement de l’épizootie de grippe aviaire.

Aujourd’hui, des voix s’élèvent au sein de l’interprofession avicole du Cameroun (Ipavic) pour réclamer la levée de ces restrictions, afin de permettre aux aviculteurs de se relancer dans ce bassin de production, qui pèse à lui seul 80% de la filière avicole au Cameroun.

«Cela fait six mois qu’aucun autre foyer n’a plus été découvert dans le pays. Cela suppose qu’on peut aujourd’hui lever les mesures de restriction dans le déplacement des volailles. Tant qu’on ne le fait pas, la filière supporte des coûts supplémentaires non calculables. D’autre part, avec la flambée des coûts des matières premières, tant que les éleveurs n’ont pas de visibilité sur leur activité, ils ne peuvent pas investir ou prendre certains risques.», a confié au Quotidien gouvernemental Blaise Kamdoum, le Vice-président de l’Ipavic.

BRM

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