Ukraine. la rédactrice en chef d'un journal assassinée

Ria Novosti Vendredi le 17 Avril 2015 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Il s'agit du troisième assassinat d'un journaliste survenu en Ukraine en quatre jours. La rédactrice en chef du journal ukrainien Netechinski Vestnik Olga Moroz a été retrouvée morte à son domicile dans la région de Khmelnitski (centre-ouest), ont annoncé les médias locaux.

ADS

 

 

Selon les médias qui se réfèrent à des proches de la défunte, le corps de Mme Moroz portant des traces de violence a été découvert dans son appartement dans la ville de Netichyn.

Les médias locaux estiment que le meurtre de la journaliste est lié à ses activités professionnelles. Les derniers jours avant sa mort, Mme Moroz préparait un article sur l'exploitation forestière illégale.

 

Il s'agit du troisième assassinat d'un journaliste survenu en Ukraine depuis le 13 avril dernier. Dans la nuit du 12 au 13 avril, le journaliste ukrainien Sergueï Soukhobok a été abattu à Donetsk dans des circonstances non élucidées.

Jeudi 16 avril, le journaliste et écrivain Oleg Bouzina, régulièrement invité à la télévision russe, a été tué par balles à Kiev à l'entrée de son immeuble. Plus tôt dans la journée de jeudi, le ministère de l'Intérieur a annoncé que l'ex-président de la Rada suprême (parlement) Oleg Kalachnikov, considéré comme proche de l'ancien président Viktor Ianoukovitch, avait été tué par balles à son domicile.

Le président ukrainien Piotr Porochenko a réagi aux assassinats de MM Bouzina et Kalachnikov les qualifiant de "provocation" profitable aux "ennemis" de l'Ukraine et promis une enquête transparente.

 


Un député ukrainien raille la mémoire d’un journaliste assassiné 

Certains responsables ukrainiens n’ont rien trouvé de mieux que d’insulter les victimes de la vague d’assassinats politiques qui s’abat ces derniers jours sur l’Ukraine.

Le leader du Parti radical ukrainien Oleg Liachko a tourné en dérision sur sa page Facebook la mémoire du journaliste ukrainien Oles Bouzina, assassiné jeudi à Kiev.

 

"Encore un poète est mort, achevé par les aigreurs d’estomac. Le flashmob régionalo-vatnik (référence aux décès en série de membres du Parti des régions, "vatnik" étant un terme insultant à l’égard des Russes, ndlr) continue. Il faut vraiment qu’ils aient vécu comme des salopards pour que leur mort de ne suscite pas une goutte de compassion", a écrit le député et ex-candidat à la présidentielle ukrainienne.

 

 

La déclaration a suscité une vague d’indignation dans les commentaires de ce post, de nombreux internautes décriant cette insulte à la mémoire d’une personne décédée.

Journaliste ukrainien régulièrement invité à la télévision russe, Oles Bouzina, a été tué jeudi à Kiev, à l'entrée de son immeuble. Auteur de nombreux livres, il était favorable à une décentralisation de l’Ukraine et prônait le bilinguisme (ukrainien et russe) dans le pays. 

 

Auparavant, le journal ukrainien Obkom a fait état de l'assassinat d'un autre journaliste ukrainien, Sergueï Soukhobok. Selon le journal, le meurtre aurait été perpétré dans la nuit du 12 au 13 avril.

La rédactrice en chef du journal ukrainien Netechinski Vestnik Olga Moroz a quant à elle été retrouvée morte vendredi à son domicile dans la région de Khmelnitski (centre-ouest). Il s'agit du troisième assassinat d'un journaliste survenu en Ukraine en quatre jours.

Oleg Liachko est un des visages les plus célèbres de la violence qui s’abat sur l’Ukraine. Amnesty International a publié un rapport dénonçant le fait que Liachko filme et diffuse sur son site internet des vidéos dans lesquelles on le voit, accompagné de groupes paramilitaires comme le bataillon Azov, pénétrer dans des lieux publics ou privés pour y enlever des personnes, les humilier et les contraindre par la force à exécuter ses ordres. Dans l'une d'elles, il oblige le maire de Slaviansk à écrire une lettre de démission "volontaire". Le slogan "Gloire à l’Ukraine, mort aux occupants" lui sert de cri de ralliement.

 


Ukraine: un opposant proche de l’ex-président abattu à son domicile 

Proche de l’ancien président Ianoukovitch, M. Kalachnikov était l’un des organisateurs de la filiale de Kiev du mouvement Anti-Maïdan, hostile aux manifestations pro-européennes suivies d’un coup d’Etat début 2014.

Oleg Kalachnikov, ancien président de la Rada suprême (parlement ukrainien) pour le Parti des régions (opposition), a été abattu mercredi à son domicile, rapporte le site MigNews citant le service de presse du ministère de l’Intérieur.

"Aujourd’hui à 19h20 à Kiev, on a découvert le corps du citoyen Oleg Kalachnikov à son domicile. La cause de la mort est une blessure par balles", indique le communiqué du service de presse.

Proche de l’ancien président Ianoukovitch, M. Kalachnikov était l’un des organisateurs de la filiale de Kiev du mouvement Anti-Maïdan, hostile aux manifestations pro-européennes suivies d’un coup d’Etat début 2014. Il avait reçu des menaces à plusieurs reprises, sans qu'aucune mesure n'ait été prise afin de garantir sa sécurité.

 

L'assassinat de M. Kalachnikov a également été confirmé par le conseiller du ministre ukrainien de l’Intérieur Anton Guerachtchenko. Selon M. Guerachtchenko, des poursuites ont été engagées conformément à l’article 115 du Code pénal ukrainien (« meurtre avec préméditation »). Selon lui, l’enquête examine plusieurs pistes: l’activité politique de la victime (financement du mouvement Anti-Maïdan), des problèmes financiers (le défunt avait des dettes), ses relations personnelles, et un meurtre commis en vue d’un vol.

Dernière lettre

Le jour de sa mort, M. Kalachnikov avait envoyé à un de ses amis un courrier électronique dans lequel dénonçait les pressions subies par les opposants aux nouvelles autorités du pays.

 

"Le génocide éhonté des dissidents, les menaces d’élimination physique et les insultes incessantes pour avoir appelé à fêter les 70 ans de la Victoire lors de la Grande Guerre patriotique (victoire de l'URSS dont la célébration est décriée par les autorités de Kiev, proches des mouvements néonazis, ndlr) sont devenues la norme dans l’Ukraine actuelle occupée par les nazis", stipule la lettre.

 

Suicides en série

 

Ce meurtre s’ajoute à la longue liste de mystérieux suicides survenus dans l’entourage de l’ancien président Viktor Ianoukovitch, déposé à la suite d’un coup d’Etat en février 2014.

 

Le 29 janvier 2015, Alexeï Kolesnik, ancien président du gouvernement local de la région de Kharkov et membre du Parti des régions, s’est suicidé par pendaison. Le 24 février 2015, Stanislav Melnik, du Parti des régions, retourne son arme contre lui.

 

On peut en outre citer la mort de l'ex-patron du Fonds des biens d'Etat ukrainien chargé des privatisations Mikhaïl Tchetchetov, ancien membre du Parti des régions, qui se serait défenestré fin février. L'ex-gouverneur de la région de Zaporojie Alexandre Peklouchenko, qui aurait dû comparaître devant la justice pour la dispersion des manifestations pro-européennes locales (Euro-Maïdan), s’est suicidé à l'aide d'une arme à feu. Le maire de Melitopol Sergueï Valter, pour lequel le parquet avait réclamé 14 ans de prison pour "pillage des entrepreneurs", a quant à lui été retrouvé pendu dans sa propre maison.

"Les opposants vivent dans la terreur"

 

Les membres du Parti des régions toujours présents en Ukraine vivent dans la terreur, écrit l’édition britannique The Guadian. "Tout le monde a peur. Ils ne veulent pas avoir à sauter par la fenêtre ou à se loger une balle. Ou qu’on les y aide", a déclaré dans une interview au quotidien un ancien membre du Parti des régions, qui a rejoint le Bloc d'opposition (force hostile à l’Euro-Maïdan).

 

Sergueï Larine, un autre membre du Bloc d'opposition, a confié à la publication qu’en province, des centaines de personnes sont chaque jour convoquées pour être interrogées par les enquêteurs. "Le Bureau du Procureur général a été transformé en un organe punitif", estime-t-il. "Des interrogatoires sans fin, la pression des enquêteurs, des menaces directes — l'objectif n’est pas la suprématie du droit, mais d’obtenir des avantages politiques C’est une justice aux ordres", a indiqué M. Larine, dont les propos sont cités dans la publication.

 


Ukraine: arrivée de 300 paras américains pour entraîner la Garde nationale 

Environ 300 soldats américains, appartenant à la 173e brigade aéroportée, sont arrivés à Iavoriv, dans la région de Lvov, près de la frontière polonaise, et vont entraîner 900 soldats de la Garde nationale ukrainienne, a précisé l'armée dans un communiqué publié sur son site.

La Garde nationale ukrainienne, subordonnée au ministère de l'Intérieur, est composée notamment de volontaires ayant fait partie des milices d'autodéfense du Maïdan, rapporte l'AFP.

 

L'entraînement est censé durer six mois, et une rotation des instructeurs américains est prévue tous les deux mois, selon le communiqué.

 

 

Les soldats américains ont pour objectif d'apprendre aux soldats ukrainiens non seulement les techniques de combat, mais aussi d'"entretenir et renforcer le professionnalisme et le savoir-faire du personnel militaire", a déclaré le commandant Jose Mendez, cité dans le communiqué.

Le colonel Steven Warren, porte-parole du Pentagone, a annoncé que 300 combattants de la 173e brigade aéroportée américaine déployée à Vicence, en Italie, chargés de former les membres de la Garde nationale ukrainienne arriveront en Ukraine en avril. 

Immédiatement après la conclusion des accords de Minsk sur le règlement du conflit ukrainien, conclus entre la Russie, l'Ukraine, l'Allemagne et la France, plusieurs pays anglo-saxons (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Canada) ont annoncé l'envoi d'instructeurs en Ukraine afin de former les troupes prenant part au conflit, qui a fait plus de 6.000 morts, dont de nombreux civils.

 


La Grèce a "payé cher" les sanctions antirusses de l'UE 

Un ministre grec promet d'œuvrer pour obtenir la levée des sanctions visant Moscou.

La Grèce a payé cher les sanctions décrétées par l'UE contre la Russie sur fond de crise ukrainienne, a déclaré le ministre grec de la Défense Panos Kammenos en visite à Moscou.

"Les sanctions introduites par l'Europe à l'encontre de la Russie ont affecté l'Europe elle-même, et la Grèce a payé très cher ces mesures. Nous allons tout mettre en œuvre pour obtenir la levée de ces sanctions, ce qui bénéficierait tant à l'Union européenne qu'à la Russie", a déclaré M.Kammenos aux journalistes.

 

Le ministre est arrivé dans la capitale russe pour prendre part à la quatrième conférence sur la sécurité internationale qui s'y déroulera les 16 et 17 avril.Il a rappelé que la Grèce et la Russie continuaient à coopérer dans le domaine de la défense.

"La réalisation des programmes de coopération en matière de défense se poursuit, et ces programmes seront maintenus", a fait savoir M.Kammenos. Evoquant les menaces liées au terrorisme international, le ministre grec a également plaidé pour une coopération entre Moscou et l'Occident.

"Nous estimons qu'une coopération est nécessaire pour combattre cette menace. En tant qu'amis de la Russie et membres de l'Union européenne et de l'Otan, nous ferons tout notre possible pour y parvenir", a promis M.Kammenos.

 


Moscou fustige l'envoi de militaires canadiens en Ukraine 

La Russie déplore la "décision contreproductive" d'Ottawa.

La décision du gouvernement canadien de dépêcher 200 militaires en Ukraine est contreproductive et déplorable, a déclaré l'ambassade russe à Ottawa dans un communiqué.

 

"Cette décision ne contribue aucunement au règlement du conflit fratricide qui se poursuit dans le pays", indique la mission diplomatique russe.

 

Plus tôt dans la semaine, le service de presse du premier ministre du Canada Stephen Harper a annoncé l'envoi d'environ 200 instructeurs militaires en Ukraine.

Selon Ottawa, cette "mission de formation et de soutien des forces ukrainiennes" vise à aider Kiev "dans les efforts déployés pour maintenir sa souveraineté, sa sécurité et sa stabilité face à l'agression extérieure"."Alors que les chefs des diplomaties français, allemand, russe et ukrainien, qui se sont récemment réunis à Berlin, appellent à dynamiser le dialogue politique en Ukraine, il est déplacé et inadéquat d'aider à renforcer le potentiel militaire et de faire le jeu du parti de la guerre à Kiev", lit-on dans le communiqué.

D'après l'ambassade, le Canada ferait mieux de privilégier la voie diplomatique et d'inviter Kiev à engager un dialogue avec les "républiques populaires" autoproclamées de Donetsk et de Lougansk.

Auparavant, le colonel Steven Warren, porte-parole du Pentagone, a annoncé que des instructeurs américains chargés de former les membres de la Garde nationale ukrainienne arriveront en Ukraine en avril. Il s'agit de près de 300 combattants de la 173e brigade aéroportée américaine déployée à Vicence, en Italie.

 


Washington reconnaît avoir suggéré le boycott de la Parade de Moscou 

Selon la porte-parole du département d'Etat, il existe plusieurs autres moyens de célébrer la Victoire.

Les Etats-Unis ont influencé la décision de certains leaders mondiaux de ne pas prendre part à la Parade de la Victoire à Moscou, a reconnu la porte-parole du département d'Etat US Mary Harf.

A la question de savoir si Washington avait recommandé aux chefs d'Etats et de gouvernements de ne pas se rendre à Moscou pour les festivités à l'occasion du 70e anniversaire de la victoire sur l'Allemagne nazie, Mme Harf a répondu de manière évasive, indiquant qu'il y avait "divers moyens" de rendre hommage à la victoire en Europe comme aux Etats-Unis.

"En ce qui concerne la parade de Moscou, nous avons pris en considération ce qui se passait en Ukraine et nous appelons les autres pays à faire de même", a déclaré la porte-parole de la diplomatie américaine.

 

Toujours selon elle, tout pays du monde est en droit de décider de lui-même de sa participation aux célébrations dans la capitale russe. Cependant, les Etats-Unis "ont clairement exprimé leur position" à cet égard, a-t-elle souligné.

Plus de 30 chefs d'Etats ont confirmé leur participation à la Parade de la Victoire prévue le 9 mai 2015 à Moscou. Cependant, les dirigeants de plusieurs pays occidentaux, dont la chancelière allemande Angela Merkel et le premier ministre britannique David Cameron, ont refusé d'assister à la Parade de la Victoire sur fond de crise ukrainienne.

L'administration du président américain Barack Obama a annoncé que le chef de la Maison Blanche ne prendrait pas part aux célébrations en raison de son "agenda chargé". Les Etats-Unis seront représentés par l'ambassadeur américain à Moscou John F. Tefft.

 

Lors de sa séance de questions réponses avec la population tenue jeudi, le président russe Vladimir Poutine a indiqué qu'il jugeait superflu de commenter le refus de certains leaders de se rendre à l'événement.

 

"Je n'ai même pas réagi au niveau officiel. C'est le choix de chaque politique, et de chaque pays. Ils ne veulent pas? Pas de problème. Quelqu'un n'a pas obtenu la permission de Washington? Soit. (…) C'est notre fête".

 


Maison blanche: la livraison des S-300 à l’Iran conforme aux résolutions de l’Onu 

La Maison blanche est consciente que les livraisons de systèmes de missiles antiaériens S-300 ne contredit pas les résolutions du Conseil de sécurité de l’Onu, a déclaré le porte-parole officiel de l’administration américaine Josh Earnest.

"La livraison de ces systèmes défensifs n’est pas interdite par le Conseil de sécurité de l’Onu", a-t-il indiqué lors d’un briefing. 

Le porte-parole a toutefois rappelé que Washington avait formulé aux fonctionnaires russes haut placés sa préoccupation face à l’intention de Moscou de livrer les missiles.

 

Selon M. Earnest, la Russie pourrait avoir été contrainte de livrer les missiles en raison de la situation économique difficile créée par les sanctions occidentales contre Moscou.

 

Le président Vladimir Poutine a récemment signé un décret levant l'interdiction de livrer des missiles antiaériens S-300 à l'Iran.

 

L'exécution du contrat en question, signé en 2007, avait été suspendue en 2010 par le président russe de l'époque Dmitri Medvedev. Cette démarche unilatérale de la Russie excédait le cadre de la résolution 1929 du Conseil de sécurité de l'Onu, qui interdisait exclusivement de fournir des armements offensifs à Téhéran en raison de son programme nucléaire.

 

 


Yémen: Obama renonce à "sauver le soldat Ryan"

Il est loin, le temps où les Américains pouvaient compter sur un Etat qui en cas malheur, se lancerait à leur recherche, comme dans "Il faut sauver le soldat Ryan".

La conscience américaine repose sur la ferme conviction d’avoir derrière soi un Etat qui, en cas malheur, se lancera à leur recherche au prix de leur vie, comme dans "Il faut sauver le Soldat Ryan", écrit vendredi le journal russe Rossiïskaïa Gazeta.

 

Toutefois, la réalité est tout autre. Fin mars au Yémen, les rebelles houthis ont pris le principal port du pays, Aden, et forcé le président à prendre la fuite. Des frappes de la coalition arabes ont suivi, privant selon l’Onu environ 16.000 étrangers de toute possibilité de quitter le pays.

Parmi eux, bon nombre d’Américains convaincus que les groupes aériens à la "bannière étoilée" viendraient à leur rescousse. Toutefois, leurs espoirs se sont brisés contre l’indifférence de leurs propres dirigeants. 

 

Selon la porte-parole du Département d'Etat américain, Marie Harf, il n’y a aucun plan visant à évacuer qui que ce soit, car "nous diffusons des avertissements depuis dix ans appelant à ne pas aller au Yémen". Et ceux qui ont enfreint l’avertissement n’ont qu’à se débrouiller eux-mêmes.

Au final, indique le journal russe, deux organisations de musulmans américains ont d’ores et déjà porté plainte contre le Département d’Etat et le Pentagone, exigeant que les autorités soient tenues pour responsables du refus d’aider les citoyens US bloqués au Yémen.

 

Une coalition arabo-sunnite, dirigée par l'Arabie saoudite, a lancé le 26 mars dernier une opération militaire baptisée Tempête de fermeté pour contrer l'avancée des rebelles houthis, liés à l'Iran, et alliés à des militaires restés fidèles à l'ex-président yéménite Ali Abdallah Saleh.

 

Le weekend dernier, le navire des forces navales russes Priazovié a emmené du Yémen 308 personnes, dont 159 Yéménites, 45 Russes, 18 Américains et 14 Ukrainiens. La porte-parole du département d'Etat américain a remercié la Russie d'avoir évacué des ressortissants US du Yémen, en proie à de violents combats.

 

 

ADS

 

ADS

ADS

Les plus récents

Rechercher un article

ADS

ADS