Djamel Belmadi : «D’une certaine manière l'Algérie sera en Coupe du Monde», affirme le coach qui demeure à la tête des Fennecs

Djamel Belmadi : «D’une certaine manière l'Algérie sera en Coupe du Monde», affirme le coach qui demeure à la tête des Fennecs

Dans un entretien accordé à la FAF, Djamel Belmadi, affirme que sa démission a été rejetée par les dirigeants de la Fédération Algérienne qui l'on confirmé au poste.

Monsieur «Alibi», Djamel Belmadi, le coach qui a toujours une raison à chacune de ses défaites, a confirmé lui même, dimanche dernier, son maintien à la tête de l'encadrement technique des Fennecs, par la FAF.



Le coach devenu tristement célèbre par sa propension a toujours trouver un alibi à chacune de ses défaites, raconte comment il a testé les dirigeants de la FAF, pour savoir s'il sera maintenu ou non comme entraineur de l'équipe nationale :



« J’ai soumis à tous mes responsables mon contrat, je leur ai donné la possibilité et l’opportunité de mettre fin à ce contrat sans brouille aucune et en prenant la responsabilité, s’ils avaient pensé que je n’étais plus au niveau, s’ils voyaient l’arrivée d’un autre sélectionneur d’un bon œil. Ça n’a pas été accepté.



Ce n’est pas une démission, sinon je ne serais plus là, mais c’était une proposition destinée à voir ce que les responsables du foot en Algérie avaient comme position par rapport à moi. Ils voulaient me voir continuer, et c’était indispensable pour moi.



S’ils ne veulent pas de moi, je m’en vais, je laisse ça à d’autres. Le deuxième élément, ô combien important, c’est le public, notre peuple dans son ensemble, qui a apporté une voix, qui avait l’envie de croire en nous, mon staff et moi-même, nos joueurs, malgré cette crise.



Je ne suis pas venu pour autre chose que ça, si j’avais choisi la facilité au sens large du terme, je ne serais pas à la tête de l’EN. Je suis là pour une raison claire et sans ambiguïté, c’est pour monter le plus haut possible le drapeau de ce pays et faire en sorte que cette EN soit la plus respectée, pas simplement en Afrique mais dans le monde.



On y est arrivé, pas complètement puisque nous serions sinon en Coupe du Monde, mais d’une certaine manière, cet objectif a été atteint »,
affirme Belmadi.





Celui qui a poursuivi l'arbitre Bakary Gassama jusqu'en Turquie et qui appelle subtilement au meurtre de ce dernier, qui n'est pour rien dans ses échecs, a toujours une raison à chacune d'elle. Au Cameroun, il accusé la chaleur dans la ville de Douala, l’État de la pelouse de Japoma, pour justifier ses mauvais résultats et son humiliation à la CAN 2021.



En barrages de la coupe du monde 2022, il a dans un premier accusé l'arbitre du match allé, le Botswanais, Joshua Bondo, de souvent le défavoriser. Mais après la victoire face au Cameroun à Japoma, cet arbitre est subitement devenu un des meilleurs du contient à ses yeux.



Au match retour, avant la rencontre, il se félicitait du choix de Bakary Gassama, qui l'avait aidé en demi finale face au Nigeria à la CAN 2019.



Mais après avoir perdu à 10 secondes de la fin de la rencontre face au Cameroun à Blida, il est aux trousses de Gassama jusqu'en Turquie et de manière ironique souhaite sa mort et se voit même en Coupe du Monde.



Ce dernier devient tout simplement «fou» et son manque de Fair Play, laisse craindre le pire désormais pour toute équipe qui jouera contre l'Algérie chez eux.



Guy F. FOSSO

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