Can 2016. Can féminine 2016: des détails à corriger dans l'organisation

Steve LIBAM | Cameroon-tribune Mardi le 06 Décembre 2016 Sport Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Si le Cameroun a globalement réussi sa CAN féminine, certains aspects restent à peaufiner dans la perspective de 2019.

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De l’avis de nombreux observateurs, l’organisation de la CAN féminine Cameroun 2016 a été une réussite. Au point de déjà mettre la pression sur le Ghana, pays organisateur de la CAN féminine 2018. « Je suis vraiment impressionné par l’organisation de ce tournoi. Nous allons transmettre le message aux autorités ghanéennes pour qu’on puisse faire à peu près pareil lors du prochain tournoi au Ghana. Nous devons apprendre de cette compétition. Tout était parfait sur le plan de la sécurité », a déclaré Yussif Basigi, le sélectionneur du Ghana. Entre autres, la mobilisation populaire a été exceptionnelle pour une compétition dans cette catégorie. « J’ai participé à plusieurs tournois et je n’ai jamais vu des supporters aussi nombreux pour des matchs de football féminin », confiait Desiree Ellis, sélectionneuse de l’Afrique du Sud, qui abonde dans le même sens.


Cependant, tout ne fut pas parfait. En effet, la compétition a débuté par la polémique liée aux bus de transport officiel des équipes. Celles-ci n’ont reçu leurs véhicules que quelques jours après le début de la compétition. Entre-temps, il a fallu faire avec des bus provisoires. « On a pris du retard pour le dédouanement des véhicules officiels qui sont arrivés le 15 novembre dernier », a expliqué un membre du Comité d’organisation. De même, quelques grains de sable se sont incrustés dans les rouages de la billetterie. Le stade Omnisports de Yaoundé était au-dessus de ses capacités officielles lors de la demi-finale Cameroun-Ghana. Des spectateurs étaient assis au niveau des allées réservées à l’évacuation du public. D’autres étaient debout. Or, tout le monde devrait être assis, pour des questions de sécurité. La faute, expliquent certains membres du Comité d’organisation, à un marché de revente de billets qui s’est développé aux alentours du stade, combiné au système des invitations

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