Economie EXCLUSIF - Les BRICS contre l'hégémonie occidentale : Dilma Rousseff dénonce le protectionnisme «dangereux» des grandes puissances

Dans un discours incendiaire qui fera date, Dilma Rousseff, présidente de la Nouvelle Banque de Développement des BRICS et ancienne cheffe d'État brésilienne, a taclé sans ménagement les pratiques «unilatérales et coercitives» des pays occidentaux, a appris cameroun24.

 La charge a eu lieu lors de la 4e réunion ministérielle du forum Chine-CELAC, véritable bastion émergent du multilatéralisme Sud-Sud.

"La loi du plus fort ne peut remplacer le droit international"

Le ton était donné dès l'ouverture :

    "Le protectionnisme et l'intimidation économique sont inacceptables dans les relations internationales", a tonné Mme Rousseff, visant clairement les États-Unis et leurs alliés.

Selon elle, les guerres tarifaires, l'arme du dollar et les embargos technologiques constituent :

•     Une régression historique
•     Un frein au développement des nations
•     Une menace pour la stabilité mondiale

La CELAC, rempart contre "l'impérialisme économique" ?

Fondée en 2010 pour contrer l'influence américaine en Amérique latine, la Communauté d'États latino-américains et caraïbes (CELAC) incarne cette résistance. Avec ses 33 membres (sans USA/Canada), elle représente :
? Un marché de 650 millions d'habitants
? Un PIB combiné de 7 000 milliards $
? Un laboratoire de coopération Sud-Sud

Ironie du sort : Le Brésil de Lula, après avoir boudé l'organisation en 2020, y fait son grand retour en 2023. Signe des temps ?

Le nouveau modèle BRICS : commerce, tech et énergie verte

Face au "monde unipolaire en déclin", la NDB propose une alternative concrète :
? Transferts technologiques sans restrictions politiques
? Chaînes logistiques dédollarisées
? Transition énergétique solidaire

"Contrairement aux sanctions occidentales, notre modèle crée des avantages tangibles pour tous", a insisté l'ex-présidente brésilienne.

Et maintenant ?

Avec ce coup de semonce, les BRICS et la CELAC envoient un message clair à Washington et Bruxelles :
? L'ère du diktat économique est révolue
? Le Sud global a ses propres règles

Une nouvelle guerre froide économique se profile-t-elle ? Affaire à suivre...
 

BRICS Bank Chief Slams Western "Economic Bullying" – Global South Strikes Back

In a fiery address that sent shockwaves through diplomatic circles, Dilma Rousseff, President of the BRICS New Development Bank and former Brazilian leader, launched a scathing attack on Western "economic coercion and dangerous protectionism" during the 4th China-CELAC Ministerial Forum.

"Unilateralism Is Historical Regression"

The BRICS bank chief didn't mince words:

    "Tariff wars, technological embargoes and weaponizing the dollar are unacceptable in international relations", Rousseff declared, taking aim at U.S.-led economic policies.

Her indictment exposed what she called:
?? A threat to global development
?? The collapse of multilateralism
?? A new era of "economic apartheid"

CELAC: The Anti-G7 Bloc Flexes Muscles

The 33-nation Community of Latin American and Caribbean States (CELAC) – deliberately excluding U.S. and Canada – emerged as Rousseff's showcase for South-South cooperation:
? 650 million consumer market
? $7 trillion combined GDP
? Testing ground for de-dollarization

Irony alert: Brazil's dramatic return to CELAC in 2023 under Lula signals a tectonic shift in allegiances.

BRICS Blueprint: The Dollar-Free Future

Rousseff unveiled the bloc's counter-strategy:
? Technology transfers without political strings
? Alternative payment systems bypassing SWIFT
? Joint green energy transitions

"Unlike Western sanctions, our model delivers tangible benefits for all", she stressed.

The Bottom Line

This speech marks:
? A formal challenge to U.S. financial hegemony
? The institutionalization of parallel economic systems

Is this the beginning of a new economic world order? Watch this space.

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