Grippe aviaire. Après la grippe aviaire, l’abondance du poulet sur le marché de la capitale camerounaise provoque des braderies

Investir au Cameroun Mercredi le 22 Février 2017 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Le poulet de chair est bradé dans certains marchés de la capitale camerounaise ces derniers jours. Trois poulets à 5000 francs Cfa, voire 1800 francs Cfa pour un poulet jadis vendu au prix de 3200 francs Cfa. A l’origine de cette chute drastique des prix, soutiennent les commerçants, l’abondance de la volaille dans les fermes, comme peut en témoigner la quantité de camions bondés et garés dans les marchés du poulet de la ville (Etoudi, Mvog-Ada, Essos, etc).

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En effet, apprend-on, la relance de la filière dans les bassins de production de la région du Centre du Cameroun a été plus rapide que prévue, après l’épizootie de la grippe aviaire qui s’était déclarée le 25 mai 2016 au sein du Complexe avicole de Mvog-Betsi, située dans la capitale, et qui est l’une des plus importantes fermes du pays.

En plus de la forte progression de la production excipée par les commerçants, ces derniers justifient également l’abondance du poulet sur le marché de la capitale par l’interdiction encore en cours des exportations de poulets vers des pays tels que le Gabon et la Guinée équatoriale, décision consécutive à la découverte des cas de virus H5N1 sur le territoire camerounais en mai 2016.

BRM

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