Niger Les événements au Niger n'ont pas affecté le Cameroun
Les récents événements survenus au Niger n'ont pas affecté la situation au Cameroun et la petite communauté de Russes qui y réside en permanence.
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L'instabilité qui règne de l'autre côté du lac Tchad n'est nullement ressentie au Cameroun, a déclaré l'ambassadeur de Russie à Yaoundé, Anatoli Bachkine, à l'agence TASS.
"Le Cameroun reste calme, les événements au Niger ne perturbent en rien la vie", a déclaré l'ambassadeur. "Une petite communauté de nos compatriotes s'est installée ici, quelques personnes seulement. Ils se sont surtout installés dans le sud du pays, à proximité du port de Douala".
Le secrétaire général de l'ONU s'inquiète de l'état de santé de Bazoum
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'inquiète de l'état de santé et de la sécurité du président nigérien, Mohamed Bazoum, à la suite d'informations selon lesquelles il serait privé d'eau, de nourriture et de médicaments, est-il indiqué dans un communiqué publié mercredi par le bureau du secrétaire général.
"En ce qui concerne les informations selon lesquelles le président Bazoum et sa famille vivent sans électricité, sans eau, sans nourriture et sans médicaments, le secrétaire général se dit très préoccupé par les informations faisant état des conditions déplorables dans lesquelles le président Bazoum et sa famille vivent en détention. Le secrétaire général réitère ses préoccupations concernant la santé et la sécurité du président et de sa famille et appelle à nouveau à sa libération immédiate et sans conditions et à son rétablissement en tant que chef de l'État", est-il souligné dans un communiqué.
M. Guterres s'est également déclaré préoccupé par les informations faisant état de la détention de plusieurs membres du gouvernement de Bazoum.
Le chef des rebelles nigériens et le nouveau premier ministre du pays se sont rencontrés
Le chef des rebelles nigériens, le général Abdourahamane Tchiani, a rencontré mercredi le nouveau premier ministre du pays, Ali Lamine Zeine, nommé par le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), l'autorité centrale après le coup d'État. La rencontre a eu lieu au palais présidentiel de Niamey.
Le CNSP, qui est présidé par M. Tchiani, a nommé M. Zeine, un économiste de 58 ans et ancien ministre des Finances, au poste de premier ministre le 7 août.
Avant sa nomination, M. Zeine travaillait à la Banque africaine de développement (BAD) à N'Djamena, au Tchad. Il avait auparavant été représentant de la BAD en Côte d'Ivoire et au Gabon. De 2003 à 2010, M. Zeine était ministre des Finances du Niger.
La crise au Niger remet en cause l'avenir de la Cédéao
La situation au Niger suite au récent coup d'État a mis en question le futur de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), a déclaré Umaro Sissoco Embalo, président de la Guinée-Bissau, à l'arrivée à Abuja, la capitale nigériane.
"La situation que traverse la Cédéao est vraiment préoccupante. Cette organisation jusqu'ici est la plus sûre, la plus solide de tout le continent. Aujourd'hui, nous courons le risque de la faire disparaître", a-t-il fait savoir, cité par l'AFP. Selon lui, cette perspective est liée aux coups d'État militaires au Mali, en Guinée, au Burkina Faso et au Niger qui sont membres de l'organisation.
"Le seul président que nous reconnaissons, c'est Bazoum. C'est lui que le peuple a choisi, a-t-il ajouté. Si vous ne voulez pas d'un gouvernement ou d'un président, sanctionnez-le par les urnes […]. Les coups d'État doivent être bannis."
Le président écarté du pouvoir au Niger dit rester isolé depuis le 4 août
Le président nigérien Mohamed Bazoum, écarté du pouvoir par les militaires, affirme être détenu dans de mauvaises conditions et privé de "tout contact humain", annonce la chaîne CNN, évoquant des messages qu’il a écrits à ses amis.
Ainsi, selon lui, il reste isolé depuis le 4 août et n'a rencontré personne. Il déclare également que sa résidence est privée d’électricité, ce qui a entraîné une détérioration des provisions de vivres et ce qui fait qu’il se nourrit de riz et de pâtes. L'électricité dans sa résidence a été coupée, étant donné que le Nigeria, le principal fournisseur d'électricité au Niger, a interrompu ses livraisons dans le cadre des sanctions décrétées contre les militaires arrivés au pouvoir.
Les rebelles déclarent de leur côté que le président déchu se porte "bien" et qu’il communique par téléphone avec les dirigeants et les responsables de gouvernements d'autres pays, mais n’a pas le droit de quitter sa résidence.
Les pays voisins du Niger sont prêts à intensifier leurs efforts de médiation
Les pays africains voisins du Niger qui ne font pas partie de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), sont prêts à adopter des mesures de médiation d'urgence afin de favoriser le règlement de la crise dans ce pays, rapporte le site libyen Afrigatenews.
Selon ses informations, le président tchadien Idriss Déby Itno s'est entretenu par téléphone avec Moussa Al-Koni, vice-président du Conseil présidentiel libyen. Les deux responsables se sont entendus pour "adopter des mesures d'urgence afin d'intensifier immédiatement la médiation des pays n'était pas membres de la Cédéao". Il s'agit du Tchad, de l'Algérie et de la Libye.
Ainsi, le président tchadien s'est dit prêt à "lancer des initiatives de médiation concrètes en vue de la recherche d'une solution à la crise au Niger", en s'appuyant sur "des actions concertées des pays frontaliers du Niger qui ne font pas partie de la Cédéao".
Moussa Al-Koni a souligné de son côté "l'importance d'utiliser toutes les opportunités permettant de maintenir la sécurité du Niger et de rétablir l'ordre constitutionnel dans le pays". Dans le même temps, il a insisté sur la nécessité de prévenir un "conflit armé" au Niger qui pourrait, selon lui, "provoquer une véritable tragédie".
Les rebelles au Niger accusent la France de préparer un plan de déstabilisation du pays
La France se prépare à mettre en œuvre un plan de déstabilisation du Niger avec la participation de son contingent militaire stationné dans le pays, a affirmé le porte-parole du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) qui a été formé à Niamey après le coup d'État, le colonel Amadou Abdramane.
Le contingent militaire français stationné au Niger tente de matérialiser "un plan de déstabilisation de notre pays […] qui a pour but de discréditer le CNSPN et créer une rupture avec le peuple qui le soutient dans son action et de créer un sentiment d’insécurité généralisée", a-t-il indiqué, selon le site Actu Niger. "Le but est également pour créer un sentiment général d'insécurité. Dans cette situation, l’ordre a été donné aux forces de défense et de sécurité (FDS) de "relever le niveau d’alerte sur l’ensemble du pays" et au peuple de "rester mobilisé et vigilant".
Les rebelles nigériens ont accusé la France d’avoir violé l'espace aérien du Niger, a précédemment annoncé l’AFP. Selon leur version, un avion de guerre français a décollé mercredi matin de N'Djaména, la capitale du Tchad, et a coupé tout contact avec les contrôleurs aériens en entrant dans l'espace aérien nigérien. Le Niger a fermé son espace aérien le 6 août, craignant une intervention étrangère.
L'ambassade des États-Unis au Niger a demandé à ses citoyens d'éviter les déplacements
L'ambassade des États-Unis au Niger a demandé à ses ressortissants de limiter leurs déplacements dans la capitale du pays, Niamey, et d'éviter de traverser le centre-ville et la zone du palais présidentiel. C'est ce qu'indique un communiqué publié sur le site internet de la mission diplomatique.
"L'ambassade des États-Unis recommande aux citoyens américains de rester dans leurs abris, de limiter les déplacements inutiles dans la ville et d'éviter de traverser le centre-ville et la zone du palais présidentiel", indique le communiqué. La mission a également noté qu'il pourrait y avoir une présence renforcée de la sécurité dans le centre de Niamey pour surveiller les manifestations.
L'ancien émir de Kano, au Nigeria, s'est entretenu avec le leader des rebelles nigériens
L'ancien émir de Kano (État dans le nord du Nigeria), Sanusi Lamido Sanusi, s'est entretenu avec le leader des rebelles au Niger, le général Abdourahamane Tchiani, à la veille du sommet de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao). C'est ce que rapporte l'Agence France-Presse (AFP).
Selon ses informations, Sanusi Lamido Sanusi a discuté avec le général Tchiani à Niamey et "rendra compte des résultats de cette discussion au président nigérian Bola Tinubu", qui est actuellement le président de la Cédéao.
Selon l'AFP, l'ancien émir de Kano a exprimé l'espoir que les résultats de sa discussion "ouvrent la voie à un véritable dialogue" entre les rebelles du Niger et les dirigeants du Nigeria. Sanusi Lamido Sanusi a toutefois souligné qu'il n'était pas "le porte-parole des autorités".
Les rebelles nigériens rencontrent des émissaires du président nigérian à Niamey
Les rebelles qui ont pris le pouvoir au Niger ont rencontré à Niamey deux représentants du président nigérian Bola Tinubu, qui préside actuellement la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), fait savoir Reuters, citant une source au sein du gouvernement nigérian.
Il n’y a pour le moment aucune information sur les résultats de la rencontre.
Ibraheem Yaqoub Zakzaky, chef religieux chiite et fondateur du Mouvement islamique du Nigeria, a précédemment estimé que la France et les États-Unis "voulait utiliser le Nigeria pour organiser une attaque contre le Niger". Selon ses propos repris par le journal nigérian Daily Post, "c'est scandaleux, surtout compte tenu du fait que la plupart des habitants du Nigeria et du Niger sont les représentants du même peuple".
Un conseiller du président nigérien soutient une éventuelle intervention de la Cédéao
Une intervention des pays Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) au Niger sera inévitable si les militaires ne reviennent pas dans les casernes et ne libèrent pas le président Mohamed Bazoum. C'est ce qu'a annoncé Antinekar Al-Hassan, conseiller politique de la présidence nigérienne, dans une interview à la chaîne Asharq.
"La Cédéao envahira le Niger si les militaires ne reviennent pas dans leurs casernes. L'intervention est la seule solution possible, sans laquelle le Niger ne pourra pas éviter un affrontement social", estime-t-il. Il a également affirmé que l'incapacité d'arrêter le coup d'État au Niger affecte la sécurité de tout le continent africain.
Le président déchu du Niger est retenu prisonnier dans des conditions inhumaines
Le président nigérien Mohamed Bazoum, déchu et retenu prisonnier par les rebelles, est détenu dans des conditions inhumaines, de même que les membres de sa famille. C'est ce qu'ont déclaré des membres du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS-Tarayya), qui était le parti au pouvoir dans le pays avant le coup d'État du 26 juillet.
Les conditions de détention de M. Bazoum et de sa famille sont "cruelles et inhumaines", selon Reuters qui a cité des extraits de la déclaration. Là où ils sont retenus prisonniers, ils n'ont ni électricité ni eau courante, ils n'ont pas accès à des produits alimentaires frais et il n'y a pas de médecins. M. Bazoum et sa famille mangeraient seulement du riz sec et des pâtes.
Pendant ce temps, les rebelles affirment que M. Bazoum est "en bonne santé" et qu'il communique par téléphone avec des dirigeants et des représentants de gouvernements d'autres pays, mais qu'il n'est pas autorisé à quitter sa résidence.
La capitale du Niger, Niamey, a subi de longues coupures de courant, le Nigeria voisin ayant coupé l'électricité immédiatement après l'imposition de sanctions. Une partie de l'approvisionnement en eau de la ville ne fonctionne pas.
Les États-Unis se penchent sur les options d’actions vis-à-vis du Niger
Les États-Unis examinent une série d'options sur leurs actions vis-à-vis du Niger, a déclaré ce mercredi le porte-parole du département d'État américain, Matthew Miller, commentant une éventuelle introduction de sanctions contre les rebelles.
Il a été notamment interrogé sur un possible examen par Washington de la possibilité de décréter des restrictions contre le Niger en cas de complication de la situation et au vu des informations sur des conditions "cruelles et inhumaines" de détention du président nigérien Mohamed Bazoum, évincé du pouvoir. "Nous envisageons une série d'autres options politiques, mais je ne voudrais rien anticiper", a-t-il indiqué.
Il a ajouté que Washington ne perdait pas espoir de régler le conflit dans ce pays. "Nous continuons de coopérer avec nos partenaires dans la région, avec les gouvernements d'autres pays […], nous poursuivons notre interaction avec la société civile et les ONG au Niger pour essayer de changer la situation et de trouver une issue qui conduirait au rétablissement de l'ordre constitutionnel", a souligné Matthew Miller.
Les chefs de la diplomatie algérien et américain prônent un règlement de paix au Niger
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a eu ce mercredi une rencontre à Washington avec le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, a fait savoir le site En-Nahar online.
Les interlocuteurs ont évoqué une série de sujets concernant les relations bilatérales ainsi que des problèmes internationaux et régionaux d'intérêt mutuel. Ils ont traduit "la volonté des dirigeants de leurs pays de renforcer les relations entre l'Algérie et les États-Unis".
Ahmed Attaf et Antony Blinken ont confirmé "les positions des deux pays en faveur d'un règlement pacifique au Niger, au Mali et en Libye".
Le ministre algérien séjourne aux États-Unis en visite de travail de deux jours, qui se tient dans le cadre des efforts visant à élargir la coopération économique et à intensifier le dialogue politique entre les deux pays, qui sert leurs aspirations à édifier un partenariat stratégique, souligne le média.
Paris affirme avoir concerté le vol d'un avion français au-dessus du Niger
Le vol d'un avion français au-dessus du Niger a fait partie d'un accord préalable conclu par écrit avec les forces armées de ce pays, indique un communiqué du ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères.
"Le mouvement aérien réalisé ce jour au Niger a fait l’objet d’un accord préalable et d’une coordination technique avec les forces nigériennes, autorisation confirmée par écrit", précise le texte.
"Aucune attaque contre un camp nigérien n’a eu lieu. Aucun terroriste n’a été libéré par les forces françaises qui luttent contre ce fléau depuis de nombreuses années au Sahel au péril de la vie de leurs soldats", a ajouté la diplomatie française.
Auparavant, les rebelles nigériens ont accusé la France d’avoir violé l'espace aérien du Niger. Selon la version des militaires, l'avion de guerre français a décollé à 06h01 (heure locale, UTC+1) de N'Djaména, la capitale du Tchad, et a volontairement coupé tout contact avec le contrôle aérien à 06h39 en entrant dans l'espace aérien nigérien et ce jusqu'à 11h15 (UTC+1). Le Niger a fermé son espace aérien le 6 août, craignant une intervention étrangère.
En outre, les rebelles ont accusé Paris d’avoir "d'une façon unilatérale libéré des terroristes prisonniers", a rapporté l'AFP.
Le Niger est prêt à renoncer au soutien américain au nom de la souveraineté du pays
Le nouveau chef d'état-major général des forces armées du Niger, le général de brigade Moussa Salaou Barmou, a déclaré au Wall Street Journal qu'il était prêt à renoncer à l'assistance militaire américaine pour garantir la souveraineté de son pays.
Comme l'a noté le journal, "Barmou comprend parfaitement que le coup d'État pourrait lui coûter un soutien essentiel au combat: il n'y aura plus d'entraînement conjoint, de discussions tactiques avec les bérets verts américains ou de données en temps réel fournies par les drones américains".
"Si c'est le prix de notre souveraineté, qu'il en soit ainsi", a-t-il déclaré dans une réponse écrite au journal après la prise de pouvoir par les militaires. M. Barmou n'a pas répondu aux autres questions.
Le Wall Street Journal note cependant que M. Barmou a longtemps coopéré avec les Américains et qu'il était considéré comme un partisan des États-Unis. Selon le major général de l'armée de l'air américaine Mark Hicks, qui a dirigé les opérations spéciales en Afrique de 2017 à 2019, "beaucoup de ceux qui l'apprécient espèrent qu'il pourra assurer à la situation un atterrissage en douceur ".
Comme l'indique le journal, M. Barmou, qui a été nommé chef d'état-major général le 5 août, reste le maillon principal dans les contacts entre les représentants américains et les militaires qui ont pris le pouvoir au Niger. C'est lui qui a rencontré la sous-secrétaire d'État pour les affaires politiques, Victoria Nuland, lors de sa visite au Niger lundi.
Il reste deux bases militaires américaines au Niger, avec environ 1.100 soldats. Auparavant, ils s'occupaient de la formation de l'armée du pays, notamment des forces spéciales.
Le 26 juillet, un groupe rebelle de militaires nigériens a annoncé à la télévision la destitution du président Bazoum, la fermeture des frontières du pays, l’instauration d’un couvre-feu, la suspension de la Constitution et l’interdiction des activités politiques des partis. Le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) a été créé pour gérer le pays et le général Abdourahamane Tchiani a pris la tête de ce nouvel organe. Entre-temps, M. Bazoum, selon les déclarations de politiciens nigériens, est en "bonne santé" et a été en contact téléphonique avec des dirigeants et des membres de gouvernements d’autres pays, mais il lui est interdit de quitter sa résidence.
Lors d’un sommet extraordinaire tenu le 30 juillet à Abuja, la capitale du Nigeria, les dirigeants de la Cédéao ont exigé que les rebelles au pouvoir au Niger libèrent le président Bazoum, lui rendent son poste et rétablissent l’ordre constitutionnel - ceci sur une période d’une semaine. La Cédéao a menacé de prendre "toutes les mesures nécessaires pour rétablir l’ordre constitutionnel au Niger" et n’a pas exclu "l’usage de la force". Le 4 août, les militaires des pays membres de la Cédéao ont indiqué avoir élaboré un plan en cas d’intervention au Niger. L’ultimatum de la Cédéao a expiré le 7 août.
TASS
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- Jeudi le 10 Aout 2023 07:16:20
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