Cameroun - Musique Bientôt le nouveau Petit Pays
« Peur dans la cité » est annoncée pour la fin du mois d’octobre
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Déjà beaucoup de polémique sur les réseaux sociaux. Tout le monde se demande de quoi il s’agit. « Que va encore nous sortir Petit Pays ? Qui a encore peur et de quoi ? C’est encore quoi qu’il nous réserve encore le tour ci ? ». Ce sont là quelques interrogations que se posent les internautes et les curieux sur le dernier opus de Rabba rabbi Effata, plus connu sous le nom de Petit Pays.
Il faudra surement attendre le 25 octobre prochain, lors de la conférence de présentation officielle de l’album « « Peur dans la cité » pour avoir une explication sur le titre et ses implications.
En attendant cet évènement, qui se déroulera dans les jardins de la résidence de l’artiste à Bomono Ba Mbenguè, une banlieue de Douala, il faudrait continuer avec les spéculations. Cependant ce qui est sûr c’est que l’artiste réserve beaucoup de surprises.
La première est celle de la pochette de l’album, on y voit un Effata plus sérieux que à l’accoutumée, tailleur monsieur, tiré à quatre épingles. L’artiste avoue avoir voulu sortir de l’ordinaire.
Mais, comme dit l’adage, chasse le naturel il revient au galop, l’artiste agréemente son « sérieux » d’un vélo. C’est donc un contraste entre le sérieux et le décontracté qui s’offre d’emblée aux mélomanes. Une autre innovation est la présence de deux titres en langue anglaise. « Married » et « family », annonce une belle coloration anglophone. L’artiste confie d’ailleurs vouloir conquérir d’avantage le public de l’Afrique de l’ouest et augmenter son internationalité. Un souci qui l’a d’ailleurs porté à faire du titre « Married », le porte étendard de l’album.
Les autres morceaux de cet opus étant « Promesse », « FFG », Peur dans la cité », « Moh Kukouri », qui s’avère être le producteur de l’album.
Cette dernière sortie musicale annoncée le 28 octobre, pour le grand public a bénéficié de la réalisation d’Etienne N. Parish, Hervé Ngombi et de Rabba Rabbi. La direction et la production ont été réalisées par Moh Koukouri. L’artiste rassure avoir également usé d’une technologie de pointe pour la réalisation de cette album dans lequel il annonce, de l’amour, de l’ambiance, du rythme et du neuf. Le tout étant chanté en français, anglais, pidgin, Douala. Il ne reste plus qu’à savoir de quoi la cité à peur.
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