Cameroun - Sécurité. Cameroun - Yaounde - Ahalla 2: Un ex-détenu égorge un jeune homme

Le Messager Mardi le 28 Janvier 2014 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Le jeune Jacques K. est la victime. Dimanche 05 janvier 2014, il a trouvé la mort dans les mains d’un ex-détenu, encore pensionnaire du centre de détention de la prison centrale de Kondengui il y a quelques temps.

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Le jeune Jacques K. est la victime. Dimanche 05 janvier 2014, il a trouvé la mort dans les mains d’un ex-détenu, encore pensionnaire du centre de détention de la prison centrale de Kondengui il y a quelques temps. La scène se déroule au quartier Ahalla 2 à Yaoundé. Dans un bar de la place, Jacques et sa copine Gisèle prennent un pot. Tout d’un coup, un monsieur arrive, tout en sueur et déballe les menaces à l’endroit de Jacques avant de s’emparer d’une bouteille qu’il brise et s’en serre pour trancher la gorge de ce dernier, devant les regards outrés des autres clients qui sont tétanisés à l’idée de réagir.

D’après les témoignages, le monsieur qui a ainsi pris la vie de Jacques, est le frère aîné de Gisèle, sorti il y a peu de temps de la prison centrale de Kondengui. Les raisons qui expliquent son acte ? Il aurait, depuis un bon moment, interdit simplement à Jacques d’approcher sa sœur, car estimait que ce dernier n’était pas assez bien pour avoir cette dernière comme compagne. S’il outre passait ses ordres, menaçait alors l’ex détenu, il s’en prendrait à sa vie.
C’est ainsi que, ce jour-là, joignant le geste à la parole, ayant appris que Jacques s’y trouvait en compagnie de sa sœur, il a débarqué et l’a égorgé sans autre forme de procès. Sur le champ, le jeune homme s’est vidé de son sang avant de rendre l’âme pendant que les uns et les autres s’affairaient encore pour le transporter dans un hôpital en urgence. Quant à l’assassin, il retournera très certainement dans sa cellule d’où il n’aurait jamais du sortir, une fois que les forces de l’ordre lui auront mis la main dessus. 

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