Ukraine. L'Ukraine ne doit pas signer l'accord d'association avec l'UE (Ianoukovitch)

Ria Novosti Mercredi le 02 Avril 2014 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
La décision de ne pas signer l'accord d'association avec l'Union européenne était bonne, a affirmé mercredi Viktor Ianoukovitch, destitué du poste de président ukrainien par la Rada suprême (parlement).

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"Même aujourd'hui, je suis profondément persuadé qu'une autre décision ne pouvait être adoptée et ce, indépendamment de celui qui aurait été président ukrainien à cette période précise. Une telle position serait contraire aux intérêts nationaux de l'Ukraine. C'est pourquoi je n'ai pas signé cet accord", a déclaré M.Ianoukovitch dans une interview accordée aux chaînes de télévision APTN et NTV.
 
Et d'ajouter que la réaction au refus de signer cet accord était trop émotionnelle.
 
M.Ianoukovitch a avoué qu'il ne pouvait même s'imaginer que des contradictions sur cette question auraient pu encourager des actions radicales.
 
Un changement de pouvoir s'est produit en Ukraine le 22 février dernier. La Rada suprême (parlement) a destitué le président Viktor Ianoukovitch, réformé la Constitution et fixé l'élection présidentielle au 25 mai. Moscou conteste la légitimité des nouvelles autorités du pays.
 
Le changement de pouvoir est survenu sur fond de manifestations déclenchées par la décision de Ianoukovitch de renoncer à signer un accord d'association et de libre-échange avec l'UE.


Ukraine: des pertes économiques colossales en cas de sortie de la CEI (experts)


L'Ukraine subirait des pertes économiques colossales en cas de sortie de la Communauté des Etats indépendants, affirment les experts qui ont participé à une vidéoconférence Moscou-Astana-Erevan-Kiev organisée par RIA Novosti sur le thème "L'avenir de la CEI: avec ou sans l'Ukraine?".

Auparavant, Kiev a décliné la présidence à la CEI en 2014. Andreï Paroubi, secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense, nommé après le changement de gouvernement en Ukraine, a déclaré que son pays avait également intention de se retirer de la CEI.

La sortie de la CEI tirerait un trait sur le partenariat avec la Russie

Le professeur Alexandre Goussev, directeur du Centre du développement stratégique de la CEI auprès de l'Institut de l'Europe, pense que la sortie de l'Ukraine de la CEI mettrait probablement une croix sur le partenariat avec la Russie et les autres pays de la CEI.

"Nous avons calculé que compte tenu de la taxe nulle et des accises, l'Ukraine a déjà perdu près de 1,5 milliard d'euros rien qu'en annonçant qu'elle quittait la CEI. Si cette sortie se produisait, alors les pertes de l'Ukraine s'élèveraient à près de 9 milliards d'euros. C'est une somme considérable, étant donnée la situation économique de l'Ukraine", a déclaré l'expert.

Il a ajouté que les économistes ukrainiens savaient parfaitement que dans les circonstances économiques actuelles, cela conduirait à un défaut de paiement pour le pays. "Seul le gouvernement ukrainien actuel n'en est pas conscient" et "c'est le peuple ukrainien qui portera ce lourd fardeau".

D'après Andreï Souzdaltsev du Haut collège d'économie, l'Ukraine "se crée une image de pays martyr". "C'est l'image vendue aujourd'hui dans le monde, c'est l'argent, le soutien. Bien sûr, le gouvernement ukrainien n'a pas besoin de ce conflit", a déclaré Andreï Souzdaltsev.

Selon lui, l'Ukraine renonce très rapidement aux profits et à l'argent dont elle disposait sur le marché de la CEI, alors qu'elle n'a encore rien obtenu de l'Occident. Toutes les déclarations sur la sortie de la CEI sont faites dans l'espoir que ces pertes seront compensées par l'UE.

La CEI pas affectée par la sortie de l'Ukraine

A son tour, Iskander Khissamov, directeur du centre analytique Conseil d'experts et président du Club réformateur, a déclaré qu'il ne fallait s'attendre à rien de positif de la CEI prochainement, et que l'Ukraine sortirait très probablement de la Communauté. En ce qui concerne les conséquences économiques, elles seront évidemment très graves pour l'Ukraine, notamment pour l'est du pays, pense l'expert. Cependant, il a ajouté que malgré la prise en compte des motivations économiques, "les raisonnements politiques étaient plus forts".

Le politologue Galym Baïtouk estime que la CEI ne serait pas affectée par la sortie de l'Ukraine. "Je pense que le pouvoir en Ukraine n'a pas de grande légitimité. Tout a été dit sur le coup de l'émotion, et les pourparlers avec le gouvernement pourraient commencer après l'arrivée d'un dirigeant posé. Aujourd'hui, on ignore avec qui il est possible d'établir un dialogue", a déclaré Galym Baïtouk.

La position des pays de la CEI

Comme l'a fait remarquer plus tôt le président biélorusse Alexandre Loukachenko, "la sortie de l'Ukraine affecterait la CEI, mais pas de manière létale".

Il a qualifié cette démarche de Kiev de "déraisonnable et irréfléchie" et pense que la tribune de la CEI peut être politiquement utile, "au moins pour faire entendre sa position".

Le vice-président du parlement moldave Andrian Candu, un des leaders de la coalition au pouvoir, a déclaré que la Moldavie n'avait pas l'intention de quitter la CEI, la Communauté offrant des avantages économiques: les citoyens de la république peuvent circuler librement et sans visas dans la CEI et bénéficier d'une sécurité sociale nécessaire.

D'après le chef du comité exécutif de la CEI Sergueï Lebedev, la sortie de l'Ukraine de la CEI serait préjudiciable pour son économie.
 


L'Ukraine, un pays en cours d'éclatement (Ianoukovitch)

La tenue hâtive d'une élection présidentielle en Ukraine risque de déstabiliser encore plus la situation et de diviser la société, a estimé mercredi sur la chaîne russe de télévision indépendante Dojd Viktor Ianoukovitch, clamant sa légitimité en tant que président ukrainien.

"Après une réforme constitutionnelle, il faudra organiser soit des élections législatives, soit une élection présidentielle. Toute hâte lors de la prise de décision sur la tenue d'une présidentielle mènera à l'ultérieure déstabilisation de la situation en Ukraine, alors que toute déstabilisation dans ces conditions recèle des risques énormes de division au sein de la société, voire des risques d'éclatement éventuel de l'Etat", a déclaré M.Ianoukovitch.

Et d'ajouter que l'Ukraine, en tant que pays, était en train d'éclater.

Un changement de pouvoir ayant toutes les caractéristiques d'un coup d'Etat s'est produit en Ukraine le 22 février dernier. La Rada suprême (parlement) a destitué le président Viktor Ianoukovitch, réformé la constitution et fixé l'élection présidentielle au 25 mai. Moscou conteste la légitimité des nouvelles autorités du pays.

Peuplée en majorité de russophones, la république autonome de Crimée a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et sa réunification avec la Russie au terme d'un référendum tenu le 16 mars, lors duquel 96,7% des habitants de la péninsule ont appuyé cette décision. La Russie et la Crimée ont signé le 18 mars dernier le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie.
 


Ukraine: les décisions de l'Otan nuisent au dialogue intérieur (Lavrov)

Les décisions de la réunion ministérielle du Conseil de l'Otan et de la Commission Ukraine-Otan nuisent au dialogue inter-ukrainien, a déclaré le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov lors d'une conversation téléphonique avec son homologue américain John Kerry.

"La partie russe a souligné la nécessité d'intensifier les efforts conjoints pour engager un vaste dialogue inter-ukrainien et ce afin de promouvoir une entente nationale capable de satisfaire l'ensemble des régions. [Moscou] s'inquiète des décisions adoptées lors de la réunion ministérielle du Conseil de l'Otan et de la Commission Ukraine-Otan, ces dernières ne contribuant pas à la réalisation de cette tâche", lit-on dans une déclaration publiée sur le site du ministère russe des Affaires étrangères. 

Lors de la conversation téléphonique en question, les chefs de la diplomatie des deux pays ont poursuivi leur discussion sur les possibilités de surmonter la crise politique ukrainienne.

"John Kerry a réitéré son engagement à apaiser la rhétorique et à poursuivre la recherche d'approches conciliées du règlement politique de la crise en Ukraine", a indiqué la source avant de conclure que MM.Lavrov et Kerry avaient convenu de coopérer étroitement sur la question.

Réunis à Bruxelles, les chefs de la diplomatie des pays membres de l'Alliance ont annoncé la suspension de la coopération pratique et militaire entre la Russie et l'Otan, soulignant que les contacts se maintiendraient au niveau des ambassadeurs et au-dessus. La coopération avec la Russie sur la réparation d'hélicoptères pour l'Afghanistan et sur la formation à la lutte contre le trafic de drogues serait elle aussi suspendue.

Un changement de pouvoir ayant toutes les caractéristiques d'un coup d'Etat s'est produit en Ukraine le 22 février dernier. La Rada suprême (parlement) a destitué le président Viktor Ianoukovitch, réformé la constitution et fixé l'élection présidentielle au 25 mai. Moscou conteste la légitimité des nouvelles autorités du pays. 

Peuplée en majorité de russophones, la république autonome de Crimée a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et sa réunification avec la Russie au terme d'un référendum tenu le 16 mars, lors duquel 96,7% des habitants de la péninsule ont appuyé cette décision. La Russie et la Crimée ont signé le 18 mars dernier le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie.

 


Les vols européens vers la Crimée suspendus (Eurocontrol)

L'Organisation européenne pour la sécurité de la navigation aérienne (Eurocontrol) a suspendu lundi les vols vers la Crimée, ancienne république ukrainienne qui a adhéré à la Russie à la mi-mars, a annoncé le site Flightworx.aero citant un communiqué d'Eurocontrol.

"Eurocontrol respecte strictement la Convention de l'Organisation de l'aviation civile internationale (ICAO) et ne reconnaîtra aucune offre unilatérale d'octroi de services de navigation aérienne dans l'espace aérien ukrainien autre que celles émanant des autorités ukrainiennes", rapporte Flightworx.

Les compagnies aériennes européennes doivent notamment suspendre leurs vols vers les villes de Simferopol (code UKFF) et Sébastopol (code UKFB).

Les médias ont récemment rapporté que l'Agence fédérale russe des transports aériens (Rosaviatsia) avait demandé à Eurocontrol de considérer désormais les aéroports de la Crimée comme appartenant à la Russie. Rosaviatsia n'a pas commenté ces informations.
 


Une banque US bloque un virement de l'ambassade russe au Kazakhstan

Moscou qualifie d'illégitime la décision de la banque JPMorgan Chase de bloquer un virement de l'ambassade russe à Astana (Kazakhstan) sous prétexte de sanctions américaines, a annoncé mardi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch.

"Nous qualifions d'absolument inacceptable, illégitime et absurde la décision de la banque JPMorgan Chase de bloquer un virement de l'ambassade russe à Astana à la compagnie d'assurances russe SOGAZ, sous prétexte de sanctions antirusses prises par les Etats-Unis suite à la réunification de la Crimée avec la Russie", a indiqué le porte-parole dans un communiqué mis en ligne sur le site du ministère.

"Washington doit comprendre que toute mesure inamicale prise à l'égard d'une mission diplomatie russe constitue une violation flagrante des normes internationales et peut provoquer des mesures de rétorsion qui entraveront le fonctionnement de l'ambassade et des consulats des Etats-Unis en Russie", a ajouté M.Loukachevitch.
 


Ukraine: pas d'amélioration de la situation économique sans la Russie (Moscou)

Les chefs de diplomatie des pays membres de l'organisation dite Triangle de Weimar (Allemagne, France et Pologne,) sont conscients qu'il sera difficile de redresser la situation économique en Ukraine sans faire appel à la Russie, a déclaré mardi le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. 
 
"Nos partenaires sont conscients qu'il sera extrêmement difficile d'améliorer substantiellement la situation sans coopérer avec la Russie", lit-on dans le communiqué mis en ligne sur le site de la diplomatie russe.
 
Dans leur dernier message adressé aux nouvelles autorités ukrainiennes, les trois ministres ont invité ces dernières à former des structures gouvernementales représentant les intérêts de toutes les régions de l'Ukraine, à tenir des élections sincères et démocratiques et à engager une réforme constitutionnelle.
 
Selon la diplomatie russe, la nouvelle prise de position des pays du Triangle "confirme l'importance d'une enquête multiforme sur les violations des droits de l'Homme en Ukraine, l'urgence à désarmer les formations paramilitaires illégales et la nécessité pour les autorités de Kiev de se désolidariser d'avec les extrémistes".
 


Kiev entend sanctionner les étrangers visitant la Crimée

Kiev discute avec ses partenaires internationaux de sanctions à appliquer aux citoyens étrangers visitant la Crimée que les autorités ukrainiennes considèrent toujours comme république autonome en sein de l'Ukraine, rapporte mardi le ministère des Affaires étrangères du pays.
 
"Nous consultons nos partenaires sur d'éventuelles sanctions à appliquer pour le passage illégal par des étrangers du territoire de la république autonome de Crimée", a déclaré devant les journalistes à Kiev Andreï Sybiga, chef du service consulaire du ministère.
 
Et d'ajouter que l'Ukraine s'appuyait sur sa législation nationale dans la question des migrations et des visas.
 
Auparavant, la Rada suprême (parlement ukrainien) a adopté en première lecture le projet de loi "Sur la garantie des droits et libertés des citoyens dans les territoires occupés (soit en Crimée, ndlr)".
 
Le président de la commission pour la législation constitutionnelle de la Douma (chambre basse du parlement russe) Vladimir Pliguine a indiqué que ce projet de loi établissait des normes inadmissibles du point de vue humanitaire, en introduisant de sérieuses restrictions sur l'entrée et la sortie du territoire de la Crimée et interdisant de fait des liens familiaux, ce qui n'a pas de précédent dans l'histoire contemporaine.
 
Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a exprimé sa préoccupation par les restrictions prévues par ledit projet de loi en matière de droits économiques et de liberté de la circulation, ce qui contredit les normes du droit international.
 
Un changement de pouvoir ayant toutes les caractéristiques d'un coup d'Etat s'est produit en Ukraine le 22 février dernier. La Rada suprême (parlement) a destitué le président Viktor Ianoukovitch, réformé la constitution et fixé l'élection présidentielle au 25 mai. M.Ianoukovitch a déclaré qu'il avait quitté le pays sous la menace de persécutions, mais qu'il restait le président légitime de l'Ukraine. Moscou conteste la légitimité des nouvelles autorités du pays.
 
Peuplée en majorité de russophones, la république autonome de Crimée a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et sa réunification avec la Russie au terme d'un référendum tenu le 16 mars, lors duquel 96,7% des habitants de la péninsule ont appuyé cette décision. La Russie et la Crimée ont signé le 18 mars dernier le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie.
 
Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé auparavant que les citoyens étrangers envisageant de visiter la Crimée devaient obtenir des visas russes.
 


Crimée: plus de 25.000 passeports russes délivrés (FMS)

Plus de 25.000 habitants de la Crimée, ancienne république ukrainienne intégrée à la Fédération de Russie à la mi-mars, ont déjà reçu des passeports russes, a annoncé mercredi à Simferopol Fedor Karpovets, chef de département au Service fédéral des migrations de Russie (FMS).

"Nous avons déjà délivré plus de 25.000 passeports", a indiqué M.Karpovets lors d'une conférence de presse.

Au total, le service a déjà reçu environ 75.000 demandes de passeports russes en Crimée.

Selon lui, le FMS envisage de délivrer des passeports intérieurs russes à tous les habitants de la péninsule en trois mois.

Peuplée en majorité de russophones, la république autonome de Crimée a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et sa réunification avec la Russie au terme d'un référendum tenu le 16 mars, lors duquel 96,7% des habitants de la péninsule ont appuyé cette décision. La Russie et la Crimée ont signé le 18 mars dernier le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie.

Aux termes de l'accord, les habitants de la Crimée deviennent citoyens russes. Les Criméens ont également le droit de garder leur nationalité ukrainienne sans renoncer à la citoyenneté russe.
 


96% des Russes approuvent l'intégration de la Crimée (sondage)

96% des Russes approuvent l'intégration de la Crimée à la Fédération de Russie, selon un sondage réalisé par le Centre russe d'étude de l'opinion publique (VTsIOM).

"Trois quarts des Russes (76%) estiment que l'intégration de la Crimée à la Russie sera utile pour notre pays. Seuls 6% des sondés affirment que l'adhésion de la Crimée sera plutôt nuisible", a indiqué le VTsIOM sur son site internet.

La décision des autorités russes d'intégrer la Crimée, ancienne république ukrainienne qui a souhaité adhérer à la Russie lors d'un référendum, bénéficie d'un soutien auprès les habitants des grandes villes russes (98%) et des villages (95%), chez les jeunes (96%) et les personnes âgées (97%), les partisans du parti au pouvoir Russie unie (97%) et du parti communiste (99%).

"La Russie ne doit plus louer les bases de la Flotte de la mer Noire" est l'argument principal pour 35% des personnes soutenant l'adhésion de la Crimée à la Russie.

28% Russes apprécient en outre la Crimée en tant que région balnéaire, selon le VTsIOM.

Le sondage a été réalisé les 22 et 23 mars auprès de 1.600 personnes résidant dans 130 villes et villages russes. La marge d'erreur statistique ne dépasse pas 3,4%.

Peuplée en majorité de russophones, la république autonome de Crimée a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et sa réunification avec la Russie au terme d'un référendum tenu le 16 mars, lors duquel 96,7% des habitants de la péninsule ont appuyé cette décision. La Russie et la Crimée ont signé le 18 mars dernier le traité sur le rattachement de la république de Crimée et de la ville de Sébastopol à la Fédération de Russie.
 


Ukraine: la crise économique due à l'aventurisme des politiciens (Moscou)

La crise économique en Ukraine est due à l'aventurisme des politiciens et à l'irresponsabilité des gouvernements qui se sont succédé sans se soucier du sort des Ukrainiens, lit-on mercredi dans un commentaire du ministère russe des Affaires étrangères.

"Nous sommes persuadés que la mise au point d'un projet de loi sur les amendements à apporter à la Constitution de l'Ukraine ne doit pas se réduire à des retouches des anciens textes. Il faut une convention sociale profondément transformée et rénovée qui soit perçue par la société ukrainienne polyethnique comme solide et fiable (…). Ce document doit garantir l'égalité en droit des régions et des nationalités, fondement d'un Etat de droit sans lequel (…) l'Ukraine ne pourra sortir de cette crise économique où elle s'est retrouvée en raison de l'aventurisme des politiciens et de l'irresponsabilité des gouvernements qui ne se sont pas soucié du sort des simples Ukrainiens", relève la diplomatie russe.

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