Ukraine. Ukraine: Moscou intransigeant face à la pression occidentale (Poutine)

Ria Novosti Jeudi le 04 Décembre 2014 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
La Russie ne se pliera pas sous la pression exercée par l'Occident sur elle en raison de la crise en Ukraine, a déclaré le président russe Vladimir Poutine jeudi dans son message annuel au parlement.

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"Nous sommes en droit de nous demander: à quoi ça sert, cette tragédie en Ukraine? Est-ce qu'il était impossible de régler toutes les questions litigieuses par voie de dialogue et dans le cadre juridique? Pourtant, on cherche aujourd'hui à nous persuader que seule cette politique est correcte et pondérée, et nous devons la suivre de manière aveugle et sans réflexion. Mais nous ne le ferons pas", a indiqué le chef du Kremlin.

 


Une suprématie militaire sur la Russie impossible (Poutine)


Personne n'arrivera à obtenir une suprématie militaire sur la Russie, a déclaré jeudi le président russe Vladimir Poutine dans son message à l'Assemblée fédérale.

"Personne n'arrivera à obtenir une suprématie militaire sur la Russie. Nous avons une armée moderne, apte au combat, une armée "courtoise", comme on dit aujourd'hui, mais redoutable. Nous avons suffisamment de forces, de volonté et de courage pour défendre notre liberté", a souligné le chef de l'Etat russe.
 


La Russie déploie des systèmes S-300PMU en Crimée (source)

Les forces armées russes stationnées en Crimée ont reçu des systèmes anti-aériens S-300PMU, a annoncé mercredi à RIA Novosti une source proche du dossier.

"Le déploiement de systèmes S-300PMU a permis de finaliser la mise en place d'une défense aérienne efficace capable de garantir la sécurité des forces et du matériel de la Flotte russe de la mer Noire", a fait savoir l'interlocuteur de l'agence.

Les systèmes de missiles S-300PMU Favorit sont conçus pour lutter contre les avions modernes, les missiles de croisière et les missiles balistiques tactiques. Ils sont capables d'abattre les cibles aériennes volant à une vitesse de 6.450 km/heure.

La portée de ce système varie de 40 kilomètres pour les cibles balistiques à 200 kilomètres pour les avions. Les S-300PMU ont été mis en service en 1993.
 


Crimée: des dauphins soldats participent à un exercice naval russe

Pour la première fois depuis le rattachement de la Crimée à la Russie, les dauphins vivant dans le parc de mammifères marins à Sébastopol ont participé à un exercice naval conduit par des unités spéciales de la Flotte russe de la mer Noire, a annoncé mercredi à RIA Novosti une source au sein de la Flotte.

Après l'adhésion de la Crimée à la Russie en mars 2014, l'océanarium de Sébastopol, jusqu'alors utilisé par la Marine ukrainienne pour entraîner des dauphins de combat, a été rattaché aux forces navales russes.

"Des dauphins soldats ont participé à un exercice consistant à trouver un matériel de guerre à plus de 60 mètres de profondeur. Un objet ressemblant à une mine a été découvert par un dauphin et marqué avec une bouée", a indiqué la source

Sept sur les dix dauphins testés ont été reconnus aptes à remplir des missions de combat.

"On est obligé de facto à réapprendre aux dauphins à rechercher des objets dans l'eau, car les militaires ukrainiens ont pratiquement négligé ce travail", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

Il a également fait savoir que les équipements spéciaux fabriqués pour les dauphins dans les années 1980 en URSS étaient obsolètes et que les forces navales russes avaient besoin d'un matériel plus performant, y compris pour surveiller les mammifères dans l'eau.

"Notre tâche prioritaire consiste à apprendre aux dauphins à rechercher les armes et à marquer leur emplacement, ainsi qu'à découvrir les plongeurs de combat", a conclu la source.

A l'heure actuelle, il n'existe que deux centres de formation de dauphins soldats au monde, l'un se trouvant à San-Diego (Etats-Unis) et l'autre à Sébastopol.
 


Conseil Russie-Otan: Moscou juge inutile de se réunir prochainement

Il n'est pas nécessaire de convoquer le Conseil Russie-Otan (CRN) prochainement, compte tenu de la position de l'Alliance qui refuse de coopérer avec la Russie, a déclaré mercredi aux journalistes le représentant permanent de Russie à l'Otan Alexandre Grouchko.

"A l'heure actuelle, je ne vois pas la nécessité de convoquer la réunion du CRN, étant donné que l'Otan campe sur la position qu'elle a adoptée le 1 er avril de cette année. Par ailleurs, si l'Otan manifeste le désir de discuter nous n'excluons pas la possibilité de tenir une telle réunion", a précisé M.Grouchko.

Selon lui, la reprise de la coopération est subordonnée à la révision par  l'Otan de ses positions envers la Russie. "Nous verrons dans quels domaines la coopération pourrait donner des résultats concrets", a noté le diplomate.

"La balle est dans le camps de l'Otan. Ses dirigeants doivent comprendre que la situation actuelle ne répond pas aux intérêts mêmes de l'Alliance. Tôt ou tard, l'Otan prendra conscience du fait que se concentrer sur la défense du flanc oriental est une tâche qui n'existe que dans les cerveaux des stratèges otaniens, alors que le véritable intérêt est lié à la coopération avec la Russie sur la très large gamme des problèmes sécuritaires, où sans la Russie l'Otan ne peut jouer aucun rôle indépendant et où il est indispensable de s'unir et de mener des efforts collectifs", a poursuivi M.Grouchko.

"Il s'agit avant tout de la situation au Proche-Orient et en Afrique du Nord, de la lutte contre le terrorisme, des défis de la diffusion des armes nucléaires, de la lutte contre la piraterie.  Tout ce que nous avons conjointement accompli avec l'Otan  soit dans le cadre du Conseil Russie-Otan, soit dans d'autres formats internationaux", a souligné le représentant permanent.

Au début du mois d'avril les ministres de la Défense des pays membres de l'Otan ont cessé toute coopération pratique civile et militaire au motif de la position de Moscou sur l'Ukraine et du rattachement de la Crimée à la Russie. En juin les ministres ont confirmé leur position. L'UE et les USA accusent également la Russie de s'ingérer dans les affaires de l'Ukraine. Moscou rejette ces accusations.

 


L'Otan se rapproche toujours plus de l'Ukraine


L'Otan applique les décisions prises à son sommet de septembre sur le renforcement de la coopération avec l'Ukraine et les frontières Est de l'Alliance, écrit mercredi le quotidien Kommersant.

A l'issue de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l'Otan hier à Bruxelles seront lancés cinq fonds pour moderniser les forces armées ukrainiennes et un groupe de réaction rapide aux "menaces de l'Est" sera formé.

Le thème principal de la réunion annuelle des ministres des Affaires étrangères de l'Otan devait porter sur la transformation de la mission de l'Alliance en Afghanistan prévue pour 2015.

Mais cette question a été repoussée au second plan par le dossier ukrainien: toute l'attention était rivée sur les décisions du sommet de septembre pour accorder une aide à l'Ukraine et étendre la présence de l'Otan en Europe de l'Est.

Dès leur arrivée au siège de l'Otan, les 28 ministres des Affaires étrangères de l'Alliance ont organisé une vidéoconférence avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères Pavel Klimkine. Une déclaration commune a été adoptée à l'issue de cet entretien à huis clos.

Sa première partie est consacrée à la critique de la Russie: "Nous condamnons fermement la déstabilisation intentionnée de la situation dans l'est de l'Ukraine par la Russie, qui viole le droit international, y compris la fourniture de chars, de systèmes de défense antiaérienne modernes et d'autres armements lourds aux séparatistes, ainsi que ses activités militaires qui enfreignent les accords de Minsk de septembre". Le document indique également que le "respect" par la Russie des résultats illégitimes - selon l'Otan - des élections du 2 novembre dans le Donbass "n'a fait qu'exacerber la tension".

Les actions de Kiev, elles, ont reçu une haute appréciation. Les législatives d'octobre ont été qualifiées de "libres et justes" et leurs résultats "témoignent de l'aspiration des Ukrainiens à faire partie de l'Europe démocratique" et "à décider eux-mêmes de leur politique étrangère".

Le document mentionne ensuite le lancement de cinq fonds de l'Otan pour moderniser l'armée ukrainienne, qui serviront à financer les projets dans le domaine de la logistique, du commandement et du contrôle, de la réhabilitation des blessés et de l'adaptation sociale d'anciens militaires. Pour l'instant, ces fonds ne s'élèvent qu'à 4,5 milliards d'euros mais l'Alliance souligne que cette somme va augmenter. De plus, elle ne tient pas compte des investissements non-financiers des alliés comme les équipements. Il a été également décidé hier d'augmenter le nombre de conseillers de l'Otan à Kiev.


Les journalistes ont interrogé le secrétaire général de l'Alliance Jens Stoltenberg sur les perspectives d'intégration complète de l'Ukraine à l'Otan. Sa réponse était évasive: "L'Ukraine est un pays souverain, et le droit de choisir une alliance militaire en fait partie. Plus tôt, elle avait décidé de conserver le statut de non-aligné. Si elle le changeait, ce serait la décision du peuple ukrainien". Et d'ajouter: "Je respecterai la décision de l'Ukraine, qu'elle soit d'adhérer à l'Otan ou non".

A la question de savoir si l'accroissement de la puissance militaire par les deux parties n'entraînerait pas une hausse des tensions, Stoltenberg a répondu: "Les mesures prises sont défensives et répondent à nos engagements internationaux. Ce n'est pas nous mais la Russie qui enfreint le droit international. Elle modifie les frontières par la force et ignore la souveraineté d'autres pays en portant atteinte aux règles sur lesquelles repose l'Europe contemporaine". Mais il a reconnu tout de même que l'accroissement de la présence militaire et des activités aux frontières de la Russie et de l'Otan "augmentait les risques d'incidents et de perte de contrôle de la situation".
 


La sous-secrétaire d'Etat US en Ukraine les 5-6 décembre

La sous-secrétaire d'Etat américaine chargée du contrôle des armements Rose Gottemoeller se rendra en Ukraine les 5 et 6 décembre, rapporte le département d'Etat dans un communiqué.

Selon le document, Mme Gottemoeller mènera à Kiev des "négociations bilatérales avec les partenaires ukrainiens, consacrées à la coopération dans les domaines de la sécurité, de la non-prolifération et du contrôle des armements".

La diplomate américaine s'entretiendra également avec des représentants d'organisations non-gouvernementales ukrainiennes, indique le département d'Etat.
 


Renforcement de l'Otan: Moscou promet une réponse

La Russie adoptera des mesures adéquates en réponse au renforcement de l'Otan à proximité de ses frontières, a annoncé mercredi l'ambassadeur russe auprès de l'Alliance atlantique Alexandre Grouchko.

"Certaines mesures ont déjà été prises, et de nouvelles mesures sont à adopter. Elles seront bien calculées et basées sur l'analyse des démarches entreprises par l'Otan dans cette région", a expliqué le diplomate.

Selon M.Grouchko, il n'existe "aucune raison" pour l'Otan de déployer des effectifs supplémentaires et d'intensifier ses exercices dans la région concernée.

Après le début de la crise en Ukraine, l'Alliance a renforcé sa présence dans la région balte. Les unités de la mission de l'Otan de protection de l'espace aérien des pays baltes, depuis le 1er mai, ne sont plus basées uniquement en Lituanie où le nombre de chasseurs a doublé pour atteindre huit avions, mais aussi en Estonie où ont été envoyés quatre chasseurs F16 de l'armée de l'air danoise. De plus, quatre chasseurs ont été envoyés à la base aérienne de Malbork, en Pologne.

Fin avril, près de 600 militaires américains sont arrivés dans la région pour participer aux exercices sur divers polygones. La Lituanie, la Lettonie et l'Estonie ont souligné à plusieurs reprises qu'elles étaient favorables à l'expansion de la présence des forces de l'Otan dans la région.

Comme l'a déclaré plus tôt le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, Moscou est persuadé "que l'expansion sans réserve et continue de l'Otan est une erreur qui porte atteinte à la stabilité de l'Europe".
 


South Stream: la Russie renonce au projet (Gazprom)

La Russie renonce à la construction du gazoduc South Stream, a annoncé lundi à Ankara le PDG du groupe public russe Gazprom Alexeï Miller.

"Le projet est clos", a indiqué M.Miller devant les journalistes.

Le président russe Vladimir Poutine, en visite à Ankara, a déclaré lundi que la Russie ne pouvait pas poursuivre la réalisation du projet compte tenu de la position actuelle de la Commission européenne.

Selon la Commission européenne, le projet South Stream n'est pas conforme aux normes du Troisième paquet énergie, qui interdit à compagnies productrices du gaz de posséder des pipelines principaux dans l'Union européenne.


Le ministre russe du Développement économique Alexeï Oulioukaïev a déjà évoqué fin novembre la possibilité d'abandon du projet South Stream.

Le gazoduc South Stream devait relier la Russie et la Bulgarie par le fond de la mer Noire. Pour réaliser la partie terrestre du pipeline, la Russie a signé des accords intergouvernementaux avec l'Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la Hongrie, la Grèce, la Serbie et la Slovénie. Sa construction a débuté le 7 décembre 2012 dans la région d'Anapa (Caucase russe). La première des quatre conduites du gazoduc devait entrer en service fin 2015.
 


Le destroyer russe Severomorsk quitte la Manche

L'escadre de la Flotte russe du Nord dirigée par le destroyer Severomorsk a quitté lundi la Manche et est entrée dans le golfe de Gascogne, a annoncé lundi le service de presse de la flotte du Nord.

"Les navires de guerre et bateaux de soutien russes ont mouillé dimanche dans les eaux neutres de la baie de Seine. Pendant le mouillage, les équipages des navires ont perfectionné les techniques de lutte contre les commandos et les moyens de combat sous-marins", a indiqué le service de presse.

Selon le service de presse, des hélicoptères embarqués Ka-27 de l'escadre effectueront prochainement des vols d'entraînement.

Outre le Severomorsk, l'escadre comprend le navire de débarquement Alexandre Otrakovski, le navire-ravitailleur Doubna et le remorqueur de sauvetage SB-406.

L'escadre a quitté le port de Severomorsk, base principale de la Flotte russe du Nord, le 20 novembre dernier. Elle a déjà parcouru plus de 1.700 milles, dont une partie par mer agitée.
 


Moscou et Ankara construiront un nouveau gazoduc sous-marin

Un deuxième gazoduc reliera la Russie à la Turquie sous la mer Noire conformément à un mémorandum signé lundi à Ankara dans le cadre d'une visite du président russe Vladimir Poutine en Turquie, a annoncé le PDG du groupe russe Gazprom Alexeï Miller.

"Gazprom et la société turque de transport des hydrocarbures Botas ont signé lundi un mémorandum de compréhension sur la construction d'un gazoduc reliant la Russie à la Turquie sous la mer Noire. Il aura une capacité de transport annuelle de 63 m³ de gaz dont 14 milliards de m³ sont destinés à la Turquie", a indiqué M.Miller devant les journalistes.

Selon M.Miller, "les autres 50 milliards de m³ seront livrés à la frontière entre la Turquie et la Grèce".

Moscou et Ankara sont prêts à coopérer avec des pays tiers sur ce projet. "Nous sommes prêts à examiner la participation d'autres pays. Une société chargée du projet sera créée en Russie par Gazprom", a ajouté le responsable.Le premier gazoduc sous-marin russo-turc, Blue Stream, fonctionne depuis décembre 2002. Selon Gazprom, le gazoduc a transporté au total 100 milliards de m³ de gaz au 11 mars 2014.
 


South Stream: la poursuite de la réalisation du projet impossible (Poutine)

Dans les conditions actuelles, la Russie ne peut poursuivre la réalisation du projet South Stream, a déclaré lundi le président russe Vladimir Poutine, en visite en Turquie.

"Compte tenu de la position de la Commission européenne qui ne contribue guère à la réalisation de ce projet (…). Compte tenu du fait que nous n'avons toujours pas reçu l'aval de la Bulgarie, nous estimons que la Russie ne peut pas dans ces conditions poursuivre la réalisation du projet", a indiqué Vladimir Poutine lors d'une conférence de presse à l'issue de négociations avec son homologue turc Recep Tayyip Erdoğan.

Le projet South Stream est appelé à approvisionner l'Europe en gaz russe en contournant l'Ukraine. Il a été bloqué par l'UE dans le cadre des sanctions visant Moscou en raison de la crise en Ukraine.


La semaine dernière, le ministre russe du Développement économique Alexeï Oulioukaïev a estimé pour sa part que la Russie ne construirait pas le gazoduc South Stream, si l'Union européenne jugeait que les risques pour les livraisons de gaz russe étaient minimes.
 


Blue Stream: Gazprom augmentera la capacité du gazoduc (Poutine)

Le groupe gazier russe Gazprom augmentera la capacité du gazoduc Blue Stream conformément à une entente russo-turque intervenue lundi à Ankara, a annoncé le président russe Vladimir Poutine, en visite en Turquie.

"Nous nous sommes mis d'accord d'augmenter la capacité du gazoduc Blue Stream pour satisfaire les besoins de l'économie turque en plein essor", a indiqué M.Poutine à l'issue d'entretiens avec le président turc Recep Tayyip Erdogan.

"Nous sommes prêts à élargir le gazoduc Blue Stream, mais aussi à construire un autre gazoduc destiné à satisfaire la demande croissante de l'économie turque et même à construire un +hub+ gazier en Turquie, à la frontière avec la Grèce, pour les clients en Europe du sud", a ajouté le président Poutine.

Mis en service en décembre 2002, le gazoduc Blue Stream relie la Russie à la Turquie par le fond de la mer Noire. Projet commun du russe Gazprom, du turc Botas et de l'italien ENI, il a une capacité de transport annuelle de 16 milliards de m³. Sa longueur totale est de 1.213 km. Ce système complète le couloir de transport de gaz naturel russo-turc qui traverse les territoires de l'Ukraine, de la Moldavie, de la Roumanie et de la Bulgarie. Selon Gazprom, le gazoduc a transporté au total 100 milliards de m³ de gaz au 11 mars 2014.
 


Moscou tient toujours à abroger les visas avec l'UE

La Russie ne renonce pas à avancer vers l'abrogation des visas avec l'Union européenne, a indiqué lundi à Bruxelles le délégué permanent russe auprès de l'UE Vladimir Tchijov.

"Nous n'abandonnons pas l'objectif d'avancer vers le régime sans visas pour les voyages réciproques des citoyens de Russie et de l'Union européenne. Je tiens à rappeler que le concours à la promotion des contacts entre les personnes est notre tâche commune avec l'UE, formulée encore dans l'Acte final d'Helsinki en 1975. Nous qualifions d'inadmissible la politisation de cette question. Faire traîner la prise de décision sur cette question ne répond aux intérêts ni de l'UE ni de la Russie", a déclaré le diplomate.

Les démarches à effectuer pour passer à l'abrogation des visas entre la Russie et l'UE ont été concertées lors du sommet russo-européen en 2011. A présent, l'Union européenne a suspendu les négociations avec la Russie sur l'allègement du régime des visas en raison de la situation en Ukraine.

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