Communiqué. Communiqué : LA CELEBRATION DU 31ème ANNIVERSAIRE DE L’ACCESSION A LA MAGISTRATURE SUPREME DU PRESIDENT PAUL BIYA LE 9 DECEMBRE 2013 A L’AMBASSADE DU CAMEROUN EN FRANCE

C.P: ze Mbarga Roger Mercredi le 27 Novembre 2013 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
LA CELEBRATION DU 31ème ANNIVERSAIRE DE L’ACCESSION A LA MAGISTRATURE SUPREME DU PRESIDENT PAUL BIYA LE 9 DECEMBRE 2013 A L’AMBASSADE DU CAMEROUN EN FRANCE

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Le 9 Décembre dernier dans la salle des fêtes de l’Ambassade du Cameroun en France au 73 Rue d’Auteuil dans le XVIème arrondissement à Paris, les militants du RPDC de tous les horizons se sont rassemblés pour célébrer le 31ème Anniversaire de l’Accession à la Magistrature Suprême du Président Paul BIYA, en présence de la Ministre de l’Education de base, Madame YOUSSOUF Hadidja Halim, de S.E.M l’Ambassadeur du Cameroun en France Lejeune MBELLA MBELLA, du trésorier général du RDPC et membre du Comité Central Gilbert TSIMI EVOUNA, du Président de la Section RDPC France Nord Monsieur David MVONDO MVONDO, de la Secrétaire Générale du MineFOP Madame EBELLE, des chefs traditionnels, des présidents de Sous Sections et Cellules de RDPC, et de nombreux militants.

6 Novembre 1982 – 6 Novembre 2013. Cette journée de célébration du 31ème anniversaire de l’Accession à la Magistrature suprême du Président Paul BIYA avait pour thème : « La dynamique de la victoire, pour la cohésion interne, au service des Grandes Réalisations ». Les festivités ont débuté vers 14 heures, dans la salle de fêtes de l’Ambassade du Cameroun à Paris. Tous les militants étaient au rendez-vous. Après l’ouverture de la cérémonie qui s’est faite par le chant de l’hymne national camerounais, entonné par un maître de cérémonie de circonstance, et suivi par les militants du RDPC. Les différents présidents de Sous Sections du RDPC à l’instar de Paris Nord, du Mans, du Val de Marne… Ce jour étant marqué sur la réflexion de « La décentralisation au Cameroun », les travaux entre les militants de Sous Sections et cellules ont été repartis en trois grands ateliers :

Atelier n° 1 : Définition de la décentralisation : cet atelier devait apporter une clarification sur la notion de décentralisation, à travers sa conceptualisation, sa philosophie et ses contours.Cet atelier permettra de répondre à un certain nombre de questions, telles que ; Quelle définition de la décentralisation ? Les différents types de décentralisation. Quelle différence entre décentralisation des compétences et décentralisation des services ?

Atelier n° 2 : Transfert des compétences : cet atelier abordera la décentralisation sous l’angle des transferts de compétences de l’Etat aux collectivités territoriales décentralisées. Il s’agira notamment de mettre en lumière les modalités d’exercices de ces transferts. Au Cameroun on est passé de la phase théorique à la phase pratique, malgré un certain nombre de difficultés qu’il conviendra de mettre en lumière.

Atelier n° 3 : Transfert des ressources : cet atelier traitera de la décentralisation sous l’angle des transferts de ressources d’ensemble. Il s’agira de préciser les modalités de transfert des ressources de l’Etat aux collectivités territoriales, d’identifier les différentes ressources d’une manière plus générale, ainsi que leur origine, permettant aux collectivités territoriales de mettre en œuvre les compétences qui leur sont dévolues par l’Etat.

Les militants de la Sous Section RDPC de Seine et Marne, son Président Roger ZE MBARGA, les militants de la cellule de Grigny, son Président Honoré MBINKEU, les militants de la cellule d’Athis Mons, son Président Pierre Gervais GOUET II, ainsi que les sympathisants venus à cette occasion ont choisi de traiter le « Transfert des compétences » qui était le thème de l’Atelier n°2. Ceux-ci se sont rassemblés dans une partie de la salle de fêtes de l’Ambassade du Cameroun et ont commencé à échanger sur ce thème.

Cet atelier était conduit par le Président Roger ZE MBARGA, qui a pris le parole et a énoncé les règles de cet atelier avec la prise de la parole, le temps de parole et éventuellement le questionnement; il précise qu’il est question du transfert des compétences de l’Etat vers les collectivités territoriales, les régions et communes. Quel type de pouvoir est-il question ? Le président ZE MBARGA lance le débat et donne la parole aux militants et sympathisants au fur et à mesure. A travers ces échanges, ces interventions, il a été mis en lumière que le transfert des compétences impliquait le pouvoir politique, économique avec des objectifs différents. Il s’agit notamment de : D’accélérer le développement durable. Consolider des bases. Réaliser de manière efficace les équipements. Promouvoir des compétences locales. Différents questions ont été posées, telles que :

1° Le gouverneur de région a-t-il les mêmes droits et compétences qu’un ministre ?

2° Ou encore qu’est ce qui permet de faciliter ce transfert des compétences ? Tous les pouvoirs sont-ils transférables ?

3° Le dispositif mis en place est-il efficace ? Quel est son terme ?

4° Tout le monde est-il bien informé ? C’est-à-dire les mots sont-ils employés à la hauteur de tout le monde ?

A ces questions, plusieurs réponses ont été apportées. A la première question, il a été dit que le gouverneur étant un administré, il travaille avec le conseil communal, les sénateurs, le maire, les députés et à ce titre il ne pouvait pas prendre une décision tout seul, donc il ne peut pas avoir les mêmes droits et compétences qu’un ministre. A la deuxième question, sur ce qui permettrait de faciliter le transfert des compétences, il a été dit que ; la décentralisation avait déjà commencé, qu’elle se faisait par étape, et que c’est nous les militants de la Diaspora qui devions être porteurs de ce transfert des compétences en apportant des réponses, des questions et nos contributions à ce transfert des compétences par l’étude de l’existant, en précisant que c’est ce qui est attendu à l’horizon 2035. Le transfert des compétences peut être facilité par la mise en place d’un calendrier, qui certes connaît des perturbations dues aux élections récentes (sénatoriales et législatives), par la mise en place d’une évaluation avec des experts, des spécialistes, des personnes avisées, et enfin par la formation des personnes. Les rencontres périodiques sont envisagées et plébiscitées pour travailler ensemble. Enfin, le transfert des compétences concerne le domaine économique en termes de développement social, culturel, sanitaire, éducatif et sportif.

Exemple : les communes pourraient construire des structures sportives et les mettre à disposition des citoyens afin que ceux-ci puissent avoir accès à ces équipements de manière continue, dans le but de favoriser et d’encourager la pratique du sport au Cameroun. A la troisième question, il est essentiel de rappeler que les grandes civilisations dans le monde ne se sont pas bâties en un mandant, mais durant des siècles, c’est pour cette raison que le chantier des grandes réalisations du Cameroun est attendu à l’horizon de 2035. Il faudrait à cet effet le concours de tous les camerounais pour apporter chacun sa pierre à l’édifice pour construire le Cameroun de demain. A la dernière question, il est convenu que le discours de tous les dirigeants camerounais et du Président Paul BIYA sont tournés vers le peuple camerounais, il advient que le langage employé doit permettre à tous les camerounais de se sentir concernés par les chantiers et les réalisations déjà entamés. A la fin de cet échange avec les militants, le président Roger ZE MBARGA a remercié tous ceux qui ont participé à cet atelier, par les interventions, les questions et/ou les réponses apportées ce jour là. Il informe tous les participants de cet atelier N° 2 que notre rapporteur fera la synthèse du thème sur le transfert des compétences devant toute l’assemblée présente à cette célébration du 31ème Anniversaire de l’Accession à la Magistrature Suprême du Président Paul BIYA. Le temps des travaux pour chacun des ateliers était défini et bien précis, il était de vingt minutes, les échanges ne pouvaient pas s’éterniser, le thème de la décentralisation a été riche en enseignement pour tous. Tous les rapporteurs des trois ateliers qui ont traités le thème de la Décentralisation se sont exprimés devant les militants, la ministre de l’éducation de base, l’ambassadeur, le chargé de mission à la présidence de la République du Cameroun, l’inspectrice générale du ministère de l’enseignement supérieur, le délègue du gouvernement auprès de la C.U.Yaoundé et des maires du Cameroun… Les festivités ont continué dans la soirée, par la prestation d’une jeune artiste camerounaise , MICH KITTY, invitée à chauffer la salle, cette dernière reçu un accueil très chaleureux de la part de toute l’assemblée. A la fin de ce mouvement en musique, l’Ambassadeur du Cameroun en France, Son Excellence MBALLA MBELLA a prononcé un discours qui marquait la continuité et la régularité des chantiers entamés par son excellence le Président National Paul BIYA à qui il a souhaité vivement un joyeux 31ème anniversaire avec beaucoup de santé et de longévité. Il a remercié Madame la ministre de l’éducation de base et toute sa délégation d’avoir fait un détour à Paris pour assister à ce 31 ème Anniversaire de l’Accession à la Magistrature Suprême du Président Paul BIYA. Il a ensuite partagé le gâteau avec toute l’assistance et les invités. La journée s’est clôturée par un buffet offert par la Section RDPC de France Nord où tous les militants ont pu terminer cette célébration dans la joie et la convivialité autour d’un repas aux environs de vingt deux heures.

Fait à Paris, le 9 Décembre 2013

La Secrétaire de la cellule d’Athis Mons Madame

Agnès OBIL NJENG MAPAN

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