Syrie. Syrie: Assad résiderait sur un navire de guerre en Méditerranée (médias)

Ria Novosti Lundi le 14 Janvier 2013 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Le président syrien Bashar el-Assad, sa famille et ses quelques proches et parents se trouveraient la plupart du temps à bord d'un bâtiment de guerre en Méditerranée "sous surveillance russe", annoncent lundi des médias belges, se référant aux services secrets d'Arabie saoudite.

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Selon leurs informations, lorsqu'Assad doit se rendre à un rendez-vous, il revient à Damas à bord d'un hélicoptère.

Depuis mars 2011, la Syrie est en proie à un conflit sanglant entre les troupes gouvernementales et les groupes armés de l'opposition. Selon l'Onu, les affrontements ont déjà fait plus de 60.000 morts. Les autorités syriennes affirment faire face à des combattants bien armés et soutenus par les pays occidentaux et certains Etats arabes.

L'Occident réclame le départ du président syrien Bachar el-Assad en vue de la formation d'un gouvernement d'unité nationale, tandis que la Russie estime que la décision doit être adoptée par le peuple syrien, et qu'un gouvernement de transition doit réunir toutes les parties en conflit.



Syrie: des diplomates russe et syrien évoquent la rencontre de Genève

L'ambassadeur syrien à Moscou Riyad Haddad a évoqué lundi avec le représentant du président russe Mikhaïl Bogdanov les résultats de la rencontre qui avait réuni la semaine dernière à Genève M. Bogdanov, le sous-secrétaire d'Etat américain William Burns et l'envoyé spécial de l'ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhdar Brahimi.

"Les interlocuteurs ont examiné la situation en Syrie et en rapport avec ce pays, y compris à la lumière des consultations tripartites tenues le 11 janvier à Genève", lit-on dans un communiqué mis en ligne sur le site de la diplomatie russe à l'issue de l'entretien entre MM. Bogdanov et Haddad.

Au terme de ces consultations - appelées de manière officieuse par les journalistes "rencontre de trois B" - l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe a déclaré que tous les négociateurs privilégiaient un règlement pacifique du conflit en Syrie. Le diplomate algérien n'a toutefois pas indiqué s'ils étaient arrivés à un accord concernant la situation dans ce pays.

La porte-parole du département d'Etat américain a pour sa part indiqué que la rencontre de Genève avait porté ses fruits, mais que les divergences persistaient.

Ainsi, tout en réaffirmant la nécessité de résoudre la crise syrienne sur la base des ententes intervenues le 30 juin dernier à Genève, Washington insiste toujours sur le départ du président Bachar el-Assad, alors que Moscou ne pose pas cette condition.



Syrie: le départ d'Assad obligatoire pour régler la crise (Van Rompuy)



Le règlement de la crise syrienne passe par la démission du président Bachar el-Assad, a déclaré lundi le président de l'Union européenne Herman Van Rompuy en visite au Caire.

"La démission du président actuel Bachar el-Assad apparaît comme une solution à la crise intérieure en Syrie", a déclaré M. Van Rompuy lors d'une conférence de presse tenue au siège de la Ligue arabe à l'issue de négociations avec le secrétaire général de cette organisation Nabil al-Arabi.

Le président de l'UE a rappelé que selon les Nations unies, les hostilités en Syrie avaient déjà fait plus de 60.000 morts. Il a également souligné que l'Union européenne soutenait sans réserve l'envoyé spécial de l'ONU et de la Ligue arabe Lakhdar Brahimi dans ses efforts visant à apporter une solution négociée au conflit.

La coopération avec M. Brahimi est "très importante" pour la Coalition nationale de l'opposition syrienne, a indiqué le président de l'UE.

M. Van Rompuy, qui se trouve au Caire depuis dimanche, a rencontré ce jour-là le président égyptien Mohamed Morsi.

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