Cameroun - Femmes. GFAC : Qui pour remplacer Françoise

Mutations Vendredi le 03 Juillet 2015 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
L’élection à ce poste est annoncée pour les prochains mois.

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Cinq mois après son décès, la présidente nationale du Groupement des femmes d’affaires du Cameroun (Gfac), Françoise Foning, n’a toujours pas eu de remplaçante à la tête de ce mouvement.  Même si, depuis son décès survenu le 23 janvier dernier, la sénatrice du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), Agnès Ndjock, par ailleurs première vice-présidente du Gfac, en assure la présidence à titre l’intérimaire. L’élection de la nouvelle présidente est annoncée dans les prochains mois. « Tous les démembrements régionaux du Gfac sont en train d’organiser leurs assemblées générales. Et dans deux mois, nous allons tenir une assemblée générale nationale du Gfac. C’est au cours de celle-ci que nous allons élire la nouvelle présidente nationale», informe Monique Epouner, présidente régionale du Gfac pour le Littoral. Ces propos ont été prononcés au cours de l’assemblée générale du Gfac Littoral, mardi dernier.

Si on s’en tient à ses propos, la nouvelle présidente nationale du Gfac sera connue au plus tard en septembre prochain. Qui donc pour remplacer Françoise Foning ? La défunte a occupé ce poste depuis 1984, date de création du groupement. Jusqu’ici, aucune information ne filtre sur les candidatures. 
Pour les sceptiques, cette assemblée générale démontre que le groupement desb femmes d’affaires du Cameroun continue de fonctionner après le décès de sa fondatrice. Ces femmes, réunies autour de ce label, entendent bien garder l’héritage que leur a laissé celle qui se présentait comme la première femme d’affaires au Cameroun. C’est d’ailleurs dans cette logique qu’elles ont, au cours de leur assemblée générale, réaffirmé leur désir de redynamiser les membres. « L’objectif du Gfac est de sortir les femmes du secteur informel pour le formel », indique Monique Epouner.

S.T.T 

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