Can 2017. Christian Bassogog : « On espère faire mieux »

Josiane R. MATIA | Cameroon-tribune Mercredi le 18 Janvier 2017 Opinion Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Lion indomptable.

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Quelle est l’ambiance dans la tanière après ce match nul contre le Burkina Faso?
L’état d’esprit est le même depuis le début de la compétition. On veut aller chercher la victoire parce que cela fait un bon bout que les Lions n’ont pas gagné. C’est le discours du coach. C’est vrai que nous avons été déçus par le match nul contre le Burkina Faso. On espère faire mieux. Après le match de samedi, le capitaine a réuni tout le monde et il nous a dit que nous ne devons pas nous crisper pour la suite. C’est à nous de chercher ces trois points qui sont très importants pour le Cameroun. Nous en avons les capacités.


Comment appréhendez-vous la rencontre contre la Guinée Bissau, qu’on a vu sans complexes contre le Gabon malgré son statut de novice ?
Il n’ya plus de petites équipes. Si la Guinée Bissau s’est qualifiée, c’est qu’elle a les capacités de participer à une compétition de cette envergure. Nous allons prendre le match comme il vient et nous focaliser sur notre jeu. Nous respectons tous nos adversaires mais nous n’avons peur de personne.


Sur Internet, certains vous ont surnommé « le Lionel Messi du Cameroun »…
Je ne peux pas me comparer à Lionel Messi. Moi, dans ma tête, je sais que je suis Bassogog. Je fais ce que j’ai à faire sur le stade et le plus important est d’apporter un plus à l’équipe. J’aurai bien sûr souhaité marquer des buts contre le Burkina Faso car nous avons eu des opportunités mais ce sont des choses qui arrivent en football. On ne fait pas toujours les bons choix. Le plus important est de savoir se remettre en question et de mettre le ballon au fond des filets à la prochaine occasion.


Comment se passe cette première CAN pour vous ?
C’est une expérience magnifique pour moi de jouer une CAN, surtout à mon âge (21 ans, NDLR). Il y a d’autres qui sont là aussi, plus jeunes même, mais c’est une fierté pour moi et mon entourage d’être ici, rien que du bonheur. On essaye de vivre ces moments à fond en donnant le meilleur. Ce que je peux promettre aux supporters camerounais, c’est de passer le premier tour et après on verra ce qui va se passer.

Envoyée spéciale à Libreville

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